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Jean « Tout l’intérêt de l’art se trouve dans le commencement. Après le commencement, c’est déjà la fin. »


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MessageSujet: Jean « Tout l’intérêt de l’art se trouve dans le commencement. Après le commencement, c’est déjà la fin. »   Jean  « Tout l’intérêt de l’art se trouve dans le commencement. Après le commencement, c’est déjà la fin. » EmptyLun 12 Oct 2015 - 1:39


Jehanne "Jean" Freyja Grímsson

" Albert, vous commencez à m’énerver ! Si vous continuez, je vais finir par changer d’ami imaginaire ! "


             

Acceptes-tu que Connor puisse s'immiscer dans tes rp ?
oui
non

Si c'est le cas, peut-il modifier le cours du rp ?
oui
non

Jusqu’où peut-il aller ?
Dispute
Pluie, tempête
Petit imprévu                              
Accident
Invitation d'un autre personnage
Grímsson
Un nom de famille qui vient des pays froids, que Jean apprécie assez, mais qui n'est cependant pas celui avec lequel elle est née ! N'allez pas vous imaginer des trucs étranges ou farfelus, il se trouve juste qu'elle est mariée. Son nom de jeune fille est en effet Poquelin. Comme Jean-Baptiste Poquelin, mondialement connu sous le nom de Molière. Il serait visiblement le frère d'un de ses lointains ancêtres, d'après l'arbre généalogique qu'a réussit à dresser son père, quelques années avant de mourir.
Jehanne Freyja
Le parfait reflet du mélange de ses origines. Jehanne.... L'ancienne forme du prénom français de Jeanne. Mais elle préfère qu'on l'appelle Jean, c'est bien plus joli ! Cependant, elle tient à une chose : il faut le prononcer correctement, à l'anglaise, pas à la française, ne lui donnez donc pas du Jean, prénom masculin de Jeanne !
Freyja, pour comprendre la référence, il est impératif d'aller jeter un coup d'oeil dans la mythologie scandinave, et vous comprendrez sans doute un peu le délire parental. Jean estime que, parfois, on devrait dire aux parents d'éviter de faire n'importe quoi....
Même si, pour être honnête, elle aime ses prénoms. Surtout le fait qu'ils soient si peu communs, même si elle préfère Jean à Jehanne, et qu'elle adore voir les gens être étonnés en découvrant son 2nd prénom !
25 ans
Depuis le 17 mars ! Etre née pour la fête de la Saint-Patrick, c'est assez cool, du point de vue de Jean.
Hétérosexuelle
Elle a fait quelques soirées arrosées avec des défis à la con qui l'ont amené à embrasser des amies, mais ça s'est arrêté à ça, et elle na jamais été attirée par une autre femme. Cependant, il ne faut jamais dire jamais, aussi Jean se qualifie  d'hétérosexuelle jusqu'à preuve du contraire !
Vendeuse & Artiste
Pour faire simple. Elle est vendeuse, souffleuse de verre mais aussi crieuse public, graffeuse et comédienne dans une troupe de théâtre.
Souffleuse de verre : Elle partage un atelier, avec son meilleur ami, non loin de chez elle, et elle est bien souvent obligée d'aller dans les environs pour essayer de faire découvrir ses créations, et en vendre (elle en vend également sur place, bien entendu, mais il faut qu'elle se fasse connaître !). Assez contraignant, et pas un job qui paie des masses, Jean le sait, mais elle aime son taf, et elle ne le changerai pour rien au monde ! Cela l'oblige également à gérer un site internet, mais elle est aidée par son meilleur ami (qui fait, de son côté, la promo de ses sublimes créations ! Si vous aimez les vitraux, Jean vous conseille d'aller le voir !). De ce fait, elle est grandement occupée avec ce pan-là de sa vie ! Comme ce métier ne lui permet pas de gagner assez d'argent pour vivre, elle a un boulot à mi-temps, elle est aussi :
Vendeuse, dans la boutique de prêt--à-porter de Loan Devitto. C'est un boulot purement alimentaire, celui qu'elle considère comme étant son réel emploi se trouve un peu plus haut. Cependant, elle doit avouer que ça l'amuse assez de vendre des fringues, car elle adore voir la tête des clients et clientes, lorsqu'ils comprennent que l'Arc-en-ciel sur pattes est une vendeuse ! En plus, niveau horaires, c'est assez cool pour elle et Loan est sympa en plus : Jean ne va donc pas se plaindre !
Crieuse public, ça, c'est depuis qu'elle est arrivée dans ce village. La cinglée qui scande quotidiennement les dernières nouvelles sur le marché ? C'est elle! En même temps, si vous l'avez déjà vu, jvous vous en souvenez ! Comment oubliez une nana aux cheveux multicolores, sapée en pirate steampunk qui parle fortement ? Mais, en réalité, elle est comédienne d'une petite troupe de théâtre, et ceci est l'une de ses missions, en dehors de quelques représentations qu'elle donne avec le reste de la troupe !
Graffeuse, ça, ça date de son adolescence et de délires avec son meilleur ami. Délires auxquels ils n'ont toujours pas mit de terme ! Donc, si vous voyez quelques graffitis, il est possible qu'elle en soit à l'origine, ou alors, qu'elle connaisse son créateur ! Ils en font un peu partout dans les parages, et en ont même fait pour décorer quelques intérieurs de maison, donc, si vous aimez l'art urbain, vous savez qui contacter !
Mariée
Depuis 3 ans maintenant, mais c'est une longue histoire. Enfin, pas longue dans le sens "longue histoire d'amour avec une horde de rebondissements !", plutôt dans le genre "mariage à Las Vegas de 2 personnes totalement bourrées qui, le lendemain, finissent par réaliser qu'elles ont chacune des raisons à ce que le mariage ne soit pas annulé !". Donc, on ne peut pas parler d'amour, même si, depuis le temps, Jean s'est attachée à son époux. Enfin, c'est compliqué on va dire....

AVATAR : Chloe Norgaard GROUPE : Les Pollen CRÉDIT : Niobé

MON CARACTÈRE
MES PETITES MANIES
Il faut l'admettre, parler de Jean n'est pas une chose aisée. Rare sont les personnes à pouvoir le faire sans se méprendre, car il y a une différence entre celle qu'elle semble être, celle qu'elle est en réalité, et celle qu'elle pense être !

Effectivement, si vous ne la connaissez pas, ou très peu, que la 1ère chose que vous penserez à son sujet, c’est qu'elle extravertie. Parce que vous ferez le raccourci rapide du « Nana avec des cheveux de toutes les couleurs = Nana totalement barrée ! ». Et elle ne vous en voudra pas, elle y est habituée ! Et, basiquement, il faut avouer que son comportement laisse à entendre que cela est véridique. Elle est très expressive, car elle aime à parler en effectuant des grands gestes pour illustrer ses propos, par exemple ! Elle semble à l’aise en public, son débit de paroles reste majoritairement fluide et contrôlé, et elle n’hésite pas à hausser le ton si besoin est, même lorsqu'elle dit des conneries ! En somme, elle donne l'impression qu'elle n'a aucune difficulté à se savoir regardé de tous. On dit même d'elle qu'elle cherche à attirer l’attention ! Il n’est pas rare de la voir enjouée et souriante. Comme si rien ne peut l’atteindre réellement ni entacher sa bonne humeur. Bonne humeur qu’elle aime à communiquer en lançant quelques conneries de temps à autre, surtout lorsqu’elle a revêtue son costume de vendeuse, afin de mettre à l’aise les éventuels clients et clientes mal à l’aise. La jeune femme est également très douée avec les enfants, sans nul doute car elle ne se prend guère au sérieux, elle est ainsi prête à se déguiser n’importe comment uniquement pour les faire rire. Elle est d’ailleurs très créative pour distraire les gamins, tout comme elle l’est pour son boulot de souffleuse de verre. Toujours en train de s’activer, elle paraît hyperactive, capable de se tuer à la tâche, que ce soit pour le boulot comme juste pour se distraire.

Cependant, lorsqu’on la vraiment, on découvre qu’elle n’est pas toujours aussi à l’aise qu’elle prétend l’être, en toutes circonstances. On se rend alors compte que si elle prend un malin plaisir à ne pas laisser transparaître ce qu’elle ressent réellement, c’est qu’elle est ainsi, excessivement pudique. Si vous la blessée, elle ne pleurera pas, elle se contentera de vous moucher avec une réplique bien sentie, puis tournera les talents en vous offrant son plus profond dédain. Ou alors elle vous claquera la porte au nez. Même s’il est nettement plus possible qu’elle attende pour se venger, étant très rancunière. Elle ne se mettra pas à hurler à tue-tête, par contre, à moins que vous ne l’ayez complètement poussée à bout, en ce cas, ça ne sera pas joli à voir ! De même, vous ne la verrez jamais pleurer devant vous. Pourquoi ? Parce qu’elle est trop pudique, comme cela a été dit un peu plus haut : seul Arthur, son meilleur ami qui la connait depuis des années, l’a vu pleurer, et encore, c’était parce que les circonstances étaient bien particulières. Il n’y a même que lui qui la connaisse assez pour l’avoir déjà vu véritablement énervée. La plupart du temps, Jean manifeste son agacement par une réplique cinglante ou un profond silence : l’ignorance étant une arme qui peut blesser les gens, si on s’en sert bien. On découvre également que Jean est timide, étonnamment. La plupart du temps, on se rend compte qu’elle joue un rôle. Celui de la vendeuse qui s’évertue à être de bons conseils. Celui de la fille déjantée qui propage les dernières nouvelles du village sur le marché. Celui de l’artiste qui essaie de faire découvrir aux autres ce qu’elle sait faire. Celui de la fille qui ne se soucie pas des regards qu’on peut poser sur elle, des murmures qui sont susurrés sur son passage à cause de ses cheveux hors du commun. La véritable Jean, de très rares personnes la connaissent. La véritable Jean, elle n’aime pas lorsque des inconnus lui parlent, dans la rue, ou, du moins, en dehors du cadre d’un de ses boulots. La véritable Jean, elle a apprit depuis des années à ne plus rougir, mais autrefois, elle piquait un fard dès qu’on lui demandait de s’exprimer en public : le théâtre, ça aide à paraître plus sûr de soi ! La véritable Jean, elle utilise l’humour comme une arme, comme une carapace. La véritable Jean, elle se cache derrière un style capillaire déluré et un style vestimentaire au moins aussi déluré. La véritable Jean, elle est pudique jusqu’à dans la manifestation de sa tendresse : elle n’est pas du genre à embrasser son mec en public, elle n’est pas du genre à prendre les gens qu’elle aime dans ses bras toutes les trois secondes, ni du genre à leur dire qu’elle les aime. La véritable Jean, elle vous fait comprendre qu’elle tient à vous en se montrant présente pour vous, autant qu’elle le peut. La véritable Jean, elle est loyale et fidèle envers les siens, elle est prête à décrocher son téléphone, à toutes heures du jour et de la nuit, et elle est même prête à faire des heures de route, n’importe quand, pour aller vous réconforter. La véritable Jean, elle est mal à l’aise lorsque ses proches lui avouent qu’ils vont mal, elle les prend avec peine dans ses bras – et surtout parce qu’elle sent qu’ils ont besoin d’affection – mais elle est là, elle les écoute attentivement et se plie en quatre pour les aider. La véritable Jean, elle est joueuse, elle a sa fierté, elle relève le moindre des défis qu’on peut lui lancer, même s’ils mettent bien souvent sa timidité à mal, mais ça ne l’effraie pas, car la véritable Jean, de toute façon, elle se cache sous une chape d’indifférence et un sacré grain de folie. La véritable Jean, elle ne s’attache pas facilement aux gens, car elle a peur de souffrir, on ne l’a que trop prise pour une conne au gré de sa courte existence. La véritable Jean, vous savez qu’elle tient à vous dès qu’elle commence à vous parler un peu d’elle, à cœur ouvert. La véritable Jean, c’est quelqu’un qu’il ne faut pas trahir, car elle ne pardonne pas : elle choisit soigneusement ses amis, alors si on la blesse, c’est la porte, direct ! La véritable Jean, c’est une fille bien plus sensible qu’elle n’en a l’air, mais qui est trop blasée, par la vie et par les gens, pour le montrer réellement, et même pour pleurer lorsqu’elle est seule. La véritable Jean, c’est une fille capable d’être attendrie par le sourire d’un gosse, par la timidité d’un marmot, par la connerie maladroite lancé par un adulte, par la folie d’un ami, par le talent d’un inconnu. La véritable Jean, c’est une fille qui peut avoir les yeux qui s’illuminent juste par le spectacle qu’offre la nature avec un coucher de soleil éblouissant, avec des feuilles emportées dans le vent, avec un chaton qui se roule en boule contre elle pour chercher de l’affection, avec l’orage qui illumine l’obscurité de la nuit... La véritable Jean, c’est une fille nature, qui s’exprime sans vraiment réfléchir à ce qu’elle pourrait dire pour plaire à son interlocuteur. La véritable Jean, c’est une fille qui pèse ses mots lorsqu’elle est vous en veut (mais pas au point de vous crier encore dessus !) : si elle vous dit que vous la gonflez, par exemple, elle le pense, tout comme elle pensera tout ce qu’elle pourra ajouter à la suite sur votre compte et votre comportement. La véritable Jean, c’est une fille très maladroite : elle est capable de dire des boulettes et de les assumer avec une gêne touchante qu’elle tente de cacher, tout comme elle est capable de laisser échapper le saladier que vous lui tendez, voire de se vautrer alors qu’il n’y avait pourtant rien qui entravait son passage. La véritable Jean, c’est une fille capable de se foutre d’elle-même, dans toutes les situations, même si parfois, elle peut être vexée, car elle est humaine et n’a rien d’une héroïne qui n’a que des qualités. La véritable Jean, c’est une fille qui met toutes ses tripes dans ses créations en verre, et qui s’investi dans chacun de ses rôles. La véritable Jean, elle n’est pas si optimiste que ça, la vie l’a écorchée à maintes reprises, mais elle ne le montre pas, on le sent cependant lorsqu’on prend le temps de l’observer ou même d’étudier l’intonation que prend sa voix lorsque certains sujets la touchent. La véritable Jean, c’est une fille qui est toujours en mouvement lorsqu’elle bosse (à la boutique), ou qu’elle est en représentation. La véritable Jean, c’est aussi quelqu’un qui adore flemmarder quand elle ne bosse pas, qu’elle n’a rien à faire avec la troupe ni au niveau artistique. La véritable Jean, c’est une fille qui adore bouquiner, allongée sur son lit ou sur son canapé ou qui adore se poser devant un bon DVD. La véritable Jean, c’est une fille rêveuse mais qui n’en reste pas moins réaliste, car elle sait faire la distinction entre ses envies et la réalité. La véritable Jean, elle est très organisée, à tous les niveaux, car ça la rassure de tout contrôler et planifier. La véritable Jean, c’est une fille qui aime aussi à se montrer impulsive de temps à autre, mais uniquement avec des gens de confiance, car elle sait que tout ira bien, qu’elle peut aller jusqu’à leur remettre sa vie entre ses mains. La véritable Jean, c’est une fille déterminée et têtue à l’extrême. La véritable Jean, c’est une fille qui stresse rapidement, surtout pour ses activités professionnelles, ou pour tout ce qui lui tient à cœur. La véritable Jean, c’est une fille ouverte d’esprit, capable de s’étonner en découvrant que son meilleur ami a du mal à lui avouer sa bisexualité lorsqu’ils étaient encore adolescents. La véritable Jean, c’est une fille imaginative, qui déborde de projets, à tel point qu’elle regrette que les journées ne soient pas plus longues ! La véritable Jean, c’est une fille qui peut se montrer sarcastique et ironique, parce que c’est un bon moyen de cacher qu’elle puisse être blessée par les regards des autres, par des remarques désobligeantes ou encore par un paquet d’autres trucs. La véritable Jean, c’est une fille attentionnée pour les siens, mais aussi très jalouse et possessive. La véritable Jean, c’est une fille qui n’hésite pas à poursuivre un mariage qui n’était à la base qu’une farce pour faire plaisir à sa mère mourante. La véritable Jean, c’est une fille qui se sent plus à l’aise avec les gosses qu’avec les adultes, car elle n’est qu’une grande enfant, la parfaite illustration du syndrome de Peter Pan. La véritable Jean, c’est une fille farceuse, surtout lorsqu’elle est avec Arthur. La véritable Jean, c’est une fille généreuse, qui n’hésite pas à acheter un truc juste parce qu’elle sait que ça va plaire à quelqu’un qu’elle aime, et ce, même si ça n’est pas son anniversaire ou si Noël n’est pas encore là : elle aime à faire plaisir aux siens. La véritable Jean, c’est une fille haute-en-couleur, et pas que capillairement parlant, qu’il faut prendre la peine de découvrir, sous peine de passer à côté de quelqu’un de tout bonnement humain, avec ses qualités et ses défauts. La véritable Jean, c’est une fille qui, dès que vous pourrez vous vanter de la connaître un peu, vous saurez rapidement si vous pouvez l’apprécier ou non.

Il y a aussi Jean, telle qu’elle se voit elle-même. Et là, c’est bien plus péjoratif que les gens pourraient le croire : même Arthur n’a aucune idée d’à quel point se sous-estime sa meilleure amie ! Jean manque réellement de confiance en elle. Ca va bien au-delà d’un manque de confiance en ses éventuels charmes physique, ça concerne surtout son caractère. Jean, elle pense qu’elle n’a rien d’intéressant à offrir, qu’elle manque de conversation, parce qu’elle se pense vraiment stupide. Jean se rabaisse souvent, car elle n’a pas suivit un cursus scolaire normal, mais elle oublie que l’intelligence n’est pas que scolaire, qu’elle peut aussi être culturelle, et surtout, qu’elle a l’intelligence du cœur et de l’imagination. Jean, elle cache sa timidité sous un look marginal, car au moins, les gens la regardent, sans ça, elle est persuadée qu’ils passeraient devant elle sans même la voir. Et ça, même si Jean est timide, elle refuse qu’on ne la voie pas, qu’on la laisse sur le côté. Jean, elle a désespérément besoin d’affection, mais elle n’ose pas le dire, elle ne sait pas comment le dire, et de toute façon, elle pense qu’elle n’a pas le droit d’être aimée. Jean, elle est secrète sur elle et sur ce qu’elle pense, car il y a des pans de son passé dont elle n’est pas fière, et de toute façon, elle est persuadée que son opinion est merdique et sans importance. Jean, c’est une fille qui sait que le théâtre, et l’art du soufflage de verre l’a sauvée d’une vie sans intérêt. Jean, elle est jalouse et possessive envers les gens de son entourage, car elle a vraiment peur qu’ils ne finissent par trouver quelqu’un de mieux qu’elle (ce qui, selon elle, n’est pas compliqué à trouver), et qu’ils finissent alors par la délaisser. Jean, elle stresse rapidement, craignant de ne pas réussir à faire ses créations telles qu’elle les a pensés, mais aussi de ne pas être à la hauteur de ses divers emplois. Jean, elle aimerait voir en elle la femme que prétend voir en elle Arthur, mais elle n’y arrive pas. Jean, au fond, c’est juste une nana qui se cherche, et qui estime que sa vie n’a pas de sens, et n’en aura jamais, mais qui n’attend pas que sa vie ait un jour un sens : elle est trop blasée pour attendre quoi que ce soit, de toute façon !
• Avant même que Jean n’ait commencé à se faire de drôles de couleurs capillaires, et alors même qu’elle pouvait encore rougir parce qu’on la regardait avec un peu trop d’insistance, elle avait déjà, dans son apparence physique, de quoi se faire remarquer rapidement. En effet, la jeune femme a les yeux vairons. Leur teinte principale est bleu lagon, avec quelques paillettes de vert et de gris. L’œil droit, cependant, contient également des éclats de marron, plus ou moins clairs. Pour avoir une vague idée de ce à quoi ressemble son regard si particulier, vous pouvez vous référer à cette photo, qui est ce qui s’en rapproche le plus : Cliquez.
• C’est dès son adolescence qu’elle a commencée à s’amuser avec ses cheveux, en les teignant de couleurs de plus en plus farfelues. A 13 ans, elle a donc commencé avec des craies, pour passer aux surligneurs un an plus tard. C’est en voyant que cette étrange lubie ne passait pas à leur fille que ses parents ont finie par lui permettre d’utiliser des produits de teintures capillaires, la laissant choisir les couleurs de son choix auprès de grossistes spécialisés. A l’époque, elle se faisait plutôt des mèches de divers couleurs, c’est à 16 ans, suite à la mort de son père et à celle de son frère que ses cheveux ont commencés à devenir de véritables arcs-en-ciel.
• Si lorsqu’elle avait 13 ans, elle était encore assez sage au niveau capillaire, ça n’était pas le cas au niveau du vernis. Déjà à cette époque, elle arborait des ongles de toutes les couleurs. Avec le temps, cette manie s’est propagé jusqu’à ses doigts de pied. Elle s’est mise au nail art quelques mois avant que cela ne soit à la mode, mettant à profit son côté artistique pour illuminer ses ongles.
• Lorsqu’elle décide d’être assez sage quant à l’apparence de ses ongles, c’est son maquillage qui se fait plus coloré, même si cela reste quand même joli qu’excessivement coloré, et met toujours en avant son regard si particulier.
• Comme si cela ne suffisait pas, Jean aime à mettre des tenues qui font qu’elle ne passe pas inaperçue, car elles sont souvent plus ou moins colorées, souvent dans des teintes acidulées, la plupart du temps rock et casual.
• Personne ne touche à ses cheveux sauf elle, lorsqu’il s’agit de faire ses couleurs. Elle préfère gérer cela elle-même, pour avoir le résultat auquel elle pensait.
• Toujours au niveau de ses cheveux, elle n’hésite pas à se faire des coupes originales, ne confiant sa crinière qu’à des mains expertes.
• Rares sont les personnes à le savoir, mais en réalité, Jean est brune. Cela fait cependant des années qu’elle n’arbore plus sa couleur naturelle. Lorsque ses cheveux ne sont pas multicolores, ils sont souvent blonds ou roux (mais elle varie les teintes de ces couleurs précises, bien entendu !)
• La jeune femme adore les animaux, et ce, depuis sa plus tendre enfance. C’est ainsi qu’elle possède 2 furets (Lancelot et Guenièvre : on sent l’affection de la jeune femme pour la légende arthurienne, mais aussi sa volonté de taquiner son meilleur ami au sujet de son prénom !), 1 souris blanche et 1 serpent (qui s’appellent respectivement Yuki et Ayamé, petite dédicace de la fan de manga qui sommeille en elle à un manga qu’elle a dévoré durant son adolescence : Fruits Basket.). Elle songe d’ailleurs à voir avec Siegfried, son époux, pour avoir un chat. Ou un cheval. Ou les deux. Oui, elle aime les animaux, au cas où vous ne l’auriez pas compris !
• C’est une grande fan de mangas, mais aussi de comics et de Marvel. Il suffit de regarder sa bibliothèque pour voir à quel point cela est vrai ! Tout comme un simple coup d’œil sur ses photos permet de l’attester, car il lui arrive régulièrement de participer à des cosplay. Mais elle aime aussi les dessins animés (aussi bien mangas animés que les DA de divers studios d’animations, et même ceux de Disney). Cela se voit jusqu’à dans sa garde robe, car certains de ses vêtements sont à l’effigie de certains des héros.
• Ayant menée une vie que beaucoup ont qualifiées de bohème, lors de son enfance, à cause de (ou grâce à, du point de vue de Jean), ses parents, la jeune femme est une globetrotteuse dans l’âme. La vie de sédentaire lui est assez difficile, aussi s’arrange-t-elle pour voyager le plus régulièrement possible. Lorsqu’elle ne peut quitter le pays pendant plus de 6 mois, elle n’hésite pas à planifier un voyage avec Arthur, ou Siegfried s’il le souhaite, pour découvrir un autre pays.
• Elle tente d’aller au moins une fois tous les 2 ans à Madagascar, son pays de cœur, celui dans lequel elle a passé le plus de temps lors de son enfance.
• Ayant grandi majoritairement en Afrique (ses parents y ayant beaucoup voyagés), Jean parle donc de nombreux dialectes africains, même si elle est nettement plus à l’aise avec le malgache, du fait que leur demeure principale se trouvait à Madagascar.
• La jeune femme cuisine assez bien, s’avérant surtout douée pour la cuisine africaine, se débrouillant pas mal avec la cuisine française et ayant quelques bonnes notions avec la cuisine islandaise. Elle aime surtout à soigner la présentation de ses plats, quitte à passer autant de temps à travailler dessus qu’à faire ses repas !
• Jean a la main verte. Sans mauvais jeux de mots par rapport à sa passion pour les couleurs, bien entendu. Elle est vraiment douée avec les plantes et les fleurs, c’est un fait, et il suffit de voir son jardin pour en prendre conscience, mais aussi de voir les quelques plantes qui se trouve dans sa maison.
• Si elle n’avait pas réussit à réaliser son rêve de devenir souffleuse de verre, elle serait sans nul doute devenue vétérinaire, ou alors elle aurait bossé avec les enfants. Toutefois, elle ne regrette pas sa vie actuelle !
• C’est pas moins de 7 tatouages qui recouvrent son corps. Tous sont en lien avec son histoire, ou ses passions pour les mangas/comics/Marvel mais vous n’en saurez pas plus ici !
• Elle a le vertige et la phobie des avions (et des montgolfières ou autres trucs du même genre.)
• Cela peut paraître surprenant, mais elle a toujours son doudou, la peluche qu’elle ne quittait jamais lorsqu’elle était encore enfant. Bien entendu, la peluche est en piteux état. Il s’agit d’un petit tigre, qu’elle a baptisée Hery, qui signifie Force, en malgache.
• L’un de ses plus grands rêves est de pouvoir retourner en Afrique pour y vivre à nouveau, quelques années. Si un jour elle a des enfants, elle aimerait qu’ils aient une enfance similaire à la sienne, car bien que celle-ci fut hors-norme, Jean sait qu’elle fut bien plus formatrice qu’une enfance basique !
• On a parlé un peu plus haut de Jean et du maquillage : il faut savoir, sur le sujet, qu’elle est assez sage concernant le rouge à lèvre. Elle n’en porte que rarement, préférant le baume à lèvre, discrètement coloré, mais toujours parfumé : fraise, noix de coco, kiwi, myrtille... Ses lèvres sont ainsi toujours aromatisées, plus parce que ça lui plaît à elle que pour faire plaisir à son époux.
• Elle est d’une maladresse folle. Evitez donc de jouer au foot avec elle ou de lui demander de faire du sport avec vous. Evitez également de lui confier des objets fragiles. Evitez aussi de lui demander de courir. Même simplement en marchant, elle est capable de tomber, c’est pour dire !
• Le seul sport qu’elle puisse faire sans se montrer maladroite, c’est le skate. C’est d’ailleurs en skate qu’elle se déplace, la plupart du temps, lorsque ça n’est pas en voiture, ou à pied.
• Elle possède plusieurs skates, dont certains sont décorés par ses soins, ou par ceux de son meilleur ami.
• Il n’y a que lorsqu’elle bosse qu’elle parvient à gérer sa maladresse. Il faut dire qu’elle se montre encore plus prudente avec le verre qu’en général, ça aide !
• La jeune femme, outre quelques langues africaines, parle aussi parfaitement bien le français (utile à préciser car elle n’a pas grandit en France !), et se débrouille assez bien en islandais. Cependant, la langue avec laquelle elle est à la plus à l’aise, en dehors du malgache, est l’anglais.
• C’est une gourmande qui a la chance folle de ne pas prendre un gramme lorsqu’elle cède à sa gourmandise. Son point faible reste tout ce qui est viennoiserie, mais aussi les bonbons (d’ailleurs, elle aurait pu tenir une confiserie si sa carrière artistique avait été un échec.)
• Elle aime tellement les bonbons qu’elle en a toujours un paquet dans son sac à main (souvent, ces bonbons sont acidulés, car c’est ceux qu’elle préfère !), mais aussi à la maison et dans son atelier. Ainsi, elle en a toujours à portée de main !
• Malheureusement pour la gourmande qu’elle est, Jean est aussi diabétique. Cela l’oblige donc à se raisonner et à suivre un régime alimentaire que certains considèrent comme stricte. Mais elle ne s’en plaint pas, il en va de sa santé, et elle peut malgré tout se faire plaisir en mangeant des choses qu’elle aime, elle doit juste se montrer plus raisonnable que sa gourmandise n’aimerait qu’elle le soit !
• Rêvez si vous voulez lui faire boire de l’alcool, car elle déteste cela, et peu importe la boisson d’ailleurs ! Non, son truc à elle, c’est le chocolat (chaud, froid, liégeois... Bref, le chocolat sous toutes ses formes !) et le thé (froid ou chaud !).
• La télé, c’est pas son truc. Elle la regarde très rarement. Même Internet ne l’attire pas. Etre devant un écran, plusieurs heures de suite ? Très peu pour elle ! Les seules fois où elle fait exception à cela, c’est quand elle va au cinéma, ou pour se regarder un DVD. En dehors de cela, elle ne regarde pas la télé, n’est pas fana des séries (et c’est encore plus vrai lorsqu’il s’agit d’adaptations d’œuvres littéraires : déjà qu’elle n’apprécie que très peu de films qui sont des adaptations... Les séries, ne la lancez pas sur le sujet, elle est capable de pester pendant des heures !)
• La seule série qu’elle aime, c’est Doctor Who, mais cela vient de son enfance. Quand elle séjournait avec sa famille en Angleterre (le meilleur ami de son père y vivait), son père regardait cette série.
• A cause de sa passion pour Doctor Who, elle a d’ailleurs décrété que le prochain animal qu’elle aura s’appellera Tardis !
• Sa réelle préférence va cependant au théâtre mais aussi à l’opéra. Elle tente de voir au moins une représentation par mois. Le contact presque direct avec les protagonistes sur scène, c’est ce qu’elle adore par-dessus-tout, presque plus qu’elle adore être elle-même sur scène.
• Depuis ses 5 ans, elle a la peur bleue et irrationnelle des clowns. Elle a en effet assisté, lors de vacances passées en France, à l’anniversaire d’Arthur. Les parents de son ami avaient payés les services d'un clown pour l’occasion. Cette journée l'a traumatisée à jamais des clowns, à tel point qu’elle déteste en parler. Ne tâchez donc jamais de lui faire regarder "Ca" ni de l'amener au cirque ou à une fête foraine pour s'amuser avec des clowns !
• Elle adore la pluie. Depuis toujours. Elle aime l'odeur et le bruit de la pluie, donc, ne soyez pas étonnés si vous la voyez quitter l’abri de sa maison ou de son abri, voire même de la boutique, quand cela est possible, pour aller sous la pluie.
• La jeune femme est presque novice en relation amoureuse. Comme cela a été dit plus haut : elle est mariée, mais pas amoureuse de son époux. Et avant son mariage, elle n’a eu que 2 histoires sérieuses, qui se sont soldées par de cuisants échecs. De toute façon, elle ne croit pas en l’amour, du moins, elle ne croit pas que celui-ci puisse durer des années !
• Lorsqu’elle était petite, elle croyait à l’amour, cependant. Entre les histoires que lui contaient ses parents et les dessins animés qu’elle voyait de temps à autre, elle avait de quoi y croire. C’est ainsi qu’elle a planifiée avec minutie son mariage, avec sa mère, au cours de ses jeunes année. C’est d’ailleurs pour sa mère que Jean n’a pas mit un terme à son mariage avec Siegfried.
• Depuis toujours ou presque, Jean fait du bénévolat. Elle adore donner de son temps et de sa personne pour aider les autres, c’est une chose qu’elle a héritée de ses parents. Elle a fait du bénévolat dans un paquet d’associations, mais préfère surtout ce qui lui permet d’être en contact avec des enfants, c’est sans doute pour cela qu’aujourd’hui, elle rend régulièrement visite aux enfants dans les hôpitaux, et parfois même dans les orphelinats.
• C’est quelques mois après que sa mère ait décidé qu’il était temps pour leur famille de changer de vie et qu’elles se soient toutes deux installées en France que Jean a commencé à apprendre comment cracher du feu. Elle a toujours été attirée par les arts de la rue, et a même fait quelques tentatives en jongleries, mais elle est trop maladroite pour cela, elle a donc laissé cela à son meilleur ami Arthur.

IN REAL LIFE
IRL, mon pseudo, c'est Niobé. Enfin, vu que maintenant, on est dans le même bateau, je peux vous dévoiler mon doux prénom également, Angélique. J'ai un certain âge, qui a vieilli de quelques semaines depuis la 1ère fois où j'ai donné cette réponse ici ! et je vis du côté de la Bourgogne. J'ai connu le forum sur PRD et j'ai une dernière chose à vous dire : promis, ma p'tite Jean sera moins chiante que Raph ! Enfin.... On va voir !  clap .


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<pris>CHLOE NORGAARD ► </pris><a href="http://the-cherry-tree.forumactif.org/u154">Jean Grímsson</a><br>

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(J'sais pas s'il fallait tout mettre, mais comme c'est grâce à tout ça qu'elle gagne sa vie et/ou qu'elle est "connue" à BH ^^" )

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MessageSujet: Re: Jean « Tout l’intérêt de l’art se trouve dans le commencement. Après le commencement, c’est déjà la fin. »   Jean  « Tout l’intérêt de l’art se trouve dans le commencement. Après le commencement, c’est déjà la fin. » EmptyLun 12 Oct 2015 - 1:40

Voilà mon histoire...


« Tu venais à peine de naître, et pourtant, tu illuminais déjà la pièce par ta simple présence. Dans mes bras, tu scrutais la pièce avec curiosité, observant tout ce qui bougeait. Cela me fendait le cœur que de savoir que j’allais bientôt partir loin de toi. J’ignorais quand je pourrais te revoir. Tu l’as appris depuis, l’Afrique est bien loin de l’Islande, hors, c’est en Afrique que tes parents vivaient depuis déjà plusieurs années, et c’est en Afrique qu’ils voulaient que tu grandisses. J’avais beau être habituée à savoir ma fille, et la famille qu’elle s’était constituée, vivait aussi loin de moi depuis autant d’années, ça n’en était pas moins douloureux pour moi de devoir les quitter, à chaque fois que nous parvenions à nous voir.

Pendant quelques années, j’en ai même voulu à ton père, tu sais ? Non, bien sûr, tu ne l’as jamais su, je ne te l’ais jamais dit ! Oui, je lui en ai voulu d’avoir fait tourner la tête de ma seule fille, lors de son 1er contrat en Afrique, de lui avoir volé son cœur au point de la convaincre de prolonger ce contrat, afin qu’ils ne soient pas séparés. Je sais qu’il n’a pas eut de mal à la convaincre, elle a toujours rêvée de travailler dans l’humanitaire, et n’avait accepté de s’engager pour seulement quelques mois juste pour mon époux et moi.

Tu vois, j’aurai tellement aimé convaincre tes parents que la vie qu’ils construisaient ici, pour ton grand frère et toi, n’était pas une vie saine pour des enfants aussi jeunes. Tu allais bientôt être confrontée à la dure réalité de la vie, beaucoup trop tôt. A la famine. A la maladie. A la violence. L’Afrique est un pays magnifique, mais il y existe des preuves encore plus tangibles que dans d’autres pays de l’imperfection de l’Humanité dont j’aurai aimé tellement te préserver encore de longues années. Mais ce choix n’était pas entre mes mains. Alors je me devais de profiter de chaque instant que je pouvais passer en ta compagnie, puis j’allai tout en œuvre pour parvenir à convaincre tes parents de venir en Islande assez rapidement. Mais ça n’étais pas facile. Car la famille de ton père vivait, et vit toujours, en France, aussi tes parents devaient-ils partager leur temps libre entre l’Islande et la France.

Mais, pour le moment, tu es bien loin de tout cela. Dors, ma petite Jehane. Reposes-toi bien. Prépares-toi à affronter une vie qui sera encore plus compliquée que je pouvais l’imaginer. J’aurai aimé avoir le temps de te dire à quel point je suis fière de toi, de tout ce que tu as surmonté, de tout ce que tu as accompli, mais la vie ne m’en a pas laissé le temps. »


« Parfois, je me demande si la vie que nous vous avons imposé, à Louis et à toi, était un choix judicieux. Au fond, en dépit de tout ce que nous avions déjà vécu, ton père et moi n’étions que de doux rêveurs. Nous avons consacrés notre vie aux autres, et nous vous avons entraînés à en faire de même. Ca n’a pas toujours été facile. Ca n’était sans doute pas réellement une bonne idée, ni même quelque chose de sensé, au fond, lorsqu’on y réfléchit ! Lorsque l’on est médecins, et qu’on bosse pour une ONG comme médecins du monde, la vie de famille est assez complexe. Ca l’est d’autant plus lorsque les deux individus qui composent le couple parental sont dans cette ONG. Ton père et moi voulions tellement parvenir à soigner les gens les plus démunis qu’il était hors de question pour nous de démarrer une vie « normale », loin de Médecins du monde et de l’Afrique pour s’installer quelque part en Europe, dans une jolie maison avec une jolie barrière blanche, un petit chien et nos deux enfants jouant dans la cour.

Je sais que tu as parfois souffert de notre vie de nomades, de devoir déménager régulièrement pour aller dans un autre pays africain qui avait besoin d’aides médicales. Tu as toujours eu plus de mal que ton frère à te lier d’amitié avec les autres. Louis était extraverti et rapidement à l’aise avec les étrangers. Toi, tu as toujours été plus réservée, même si tu as appris à le dissimuler avec les années. Je pense que c’est en partie parce que tu n’appréciais pas réellement qu’on te regarde avec autant d’attention, comme si tu avais toujours l’étiquette « fille de médecins blancs » collée à ton front, comme si tes parents étaient autant bénéfiques pour l’Afrique qu’indésirables dans ce pays qui n’a que trop souffert de la présence des blancs au cours des siècles passés. Je pense que c’est aussi et surtout parce que tu as rapidement compris à quel point t’ouvrir aux autres te ferait immanquablement souffrir. Car cela revenait à leur faire une place dans ton cœur, et à devoir vivre avec le vide que laisserait alors en toi l’éloignement qui t’en séparerait tôt ou tard. Au fond, ta timidité, c’est autant une manifestation de ton manque de confiance en toi, de ta peur de ce monde que tu sais atrocement cruel, qu’un moyen de te protéger des aléas de la vie et de la violence qui réside en chaque être humain. J’aimerai tellement que tu ouvres enfin les yeux sur la personne que tu es. Que tu réalises enfin que tu es un être humain qui a beaucoup à offrir, qui connait la valeur de la vie et qui parvient malgré tout à garder le sourire. Que tu comprennes que les horreurs que tu as pu voir et vivre au cours de ta vie t’ont forgés une personnalité forte, en mesure de se relever, à chaque fois, toujours plus forte et déterminée à croquer la vie à pleines dents. Que si un monstre est tapi dans l’âme de chaque être humain, il s’y trouve également une part plus douce, parfaite représentation de la dualité de l’Humanité, de cette teinte de gris qui t’effraie autant, car tu ne la connais que trop bien. J’espère que Siegfried t’aidera encore, après ma mort, à appréhender ce monde, que tu adores autant que tu le redoutes, que tu veux comprendre autant que tu le trouves dérangeant, que tu veux aider autant que tu veux le laisser dans sa merde. Oui, j’espère que ton époux te rendra heureuse, même si votre rencontre a été pour le moins hors du commun. »


« Quand on est jeunes, on croit que les liens qu’on peut tisser avec certaines personnes dureront toute la vie. Du moins est-ce que j’ai pensé de notre amitié : après tout, nous nous étions rencontrés alors que tu séjournais chez tes grands-parents paternels, durant les vacances scolaires. Nous avions tellement tissés une forte amitié que nous avions réussis à la faire perdurer, à travers le temps et les multiples pays qui nous séparaient. Tu te rends quand même compte de l’originalité de notre amitié ? On s’est rencontré alors que nous avions quoi ? Toi, tu devais avoir 2 ans, et moi, j’en avais 3, j’crois bien. On s’est retrouvés presque à chaque vacances scolaires. D’abord en France, puis je me suis envolé à quelques reprises, avec ma famille, en Afrique. Car nos deux familles, au travers de notre amitié, ont fini par tisser la leur, ce qui a sans doute aidé la nôtre à perdurer. C’est vraiment dingue, quand on y pense, parce que ma mère et ton père se connaissaient pourtant depuis toujours, même s’ils ont 5 ans d’écart. Ils ont été dans les mêmes établissements scolaires, mon oncle est même le meilleur pote de ton père, depuis leur adolescence. Mais, avant que nous, nous sympathisions, ma mère et ton père n’avaient jamais réellement parlé. Ils se contentaient de se saluer lorsqu’ils se croisaient, et de parler de mon oncle, qui était parti vivre en Angleterre. Jusqu’à ce qu’on devienne amis, et là, ils se sont vus souvent. En un sens, c’était tant mieux pour nous, ils cherchaient, eux aussi, à se voir souvent. Tes parents se sont avérés être d’un précieux soutien pour ma mère, lorsque mes parents ont divorcés. C’est juste con qu’une aussi belle amitié ait pris fin de la sorte. Ca aurait pu nous arriver, d’ailleurs, cette fin à la con. Enfin, non, rectification : ça nous est arrivé.

D’ailleurs, quand j’y pense... J’m’en veux. A cause de moi, on a quand même perdu 5 ans. Pour rien, au final. Enfin, non, y’avait une raison, mais la colère que je ressentais, tu n’avais rien fait pour la mériter, en réalité. Et, pour être honnête, j’étais en colère contre toi, mais aussi contre moi. Car Léa était tout autant sous ta responsabilité que sous la mienne, le jour où elle a été kidnappée. Ma mère s’était dit qu’elle pouvait nous laisser ma sœur sans problème, le temps d’aller faire quelques courses. Elle savait qu’elle reviendrait rapidement, donc, on ne devait être seuls qu’une heure grand max’. Mais, en une heure de temps, il peut se passer beaucoup de choses ! J’sais pas si c’est notre âge qui a fait que ça s’est terminé ainsi. J’avais 13 ans, et toi 12, mais, sincèrement, même plus vieux, j’pense qu’on aurait rien pu faire. On a laissé Léa jouer dehors, dans la cour, comme cela arrivait souvent sous la garde de ma mère. Ma mère et mon père avaient divorcés depuis 5 ans environ, et lorsque mon père avait quitté la France pour s’installer officiellement avec sa nouvelle famille en Australie, je me suis rapidement mis en tête d’aider ma mère au mieux. Aussi avais-je finis par prendre l’habitude de veiller sur Léa, en attendant que ma mère rentre du boulot, et lorsque les voisins ne pouvaient veiller sur nous. Tout ça pour dire que j’étais habitué à veiller sur Léa, que ça n’aurait pas dû poser problème.

Je me souviens, ce jour-là, on jouait à la console. Léa avait abandonnée la partie pour aller jouer dans la cour, avec Simba, notre chien, parce qu’elle a toujours détesté perdre, et ce jour-là, t’étais en train de nous faire mordre la poussière. De temps à autre, toi ou moi, on arrivait à décoller le nez de la console pour jeter un coup d’œil dans la cour, vérifier que tout allait bien pour Léa. On était jeunes, certes, mais on prenait notre rôle au sérieux. J’ignore pourquoi, mais je me suis mis en tête qu’elle avait été enlevée précisément au moment où je voulais l’appeler pour prendre le goûter et où tu m’as fait revenir au salon pour me montrer ta dernière trouvaille sur la console. Avec le recul, je sais que c’est con, car ça m’a retardé quoi ? Même pas 2 minutes, en fait. Mais je refusais de prendre conscience de cette triste vérité, d’admettre que Léa avait dû le suivre entre la dernière fois où on l’avait taquiné, depuis la fenêtre du salon, sur le fait que Simba était un meilleur gardien de but qu’elle, et entre le moment où t’as réalisé que le chien avait cessé d’aboyer depuis bien trop longtemps pour que ça ne soit pas suspect. Après avoir vu le nouveau niveau que tu avais débloqué, j’ai jeté un rapide coup d’œil dehors. Je n’ai pas vu Léa, mais j’ai vu le chien courir, alors j’ai pas cherché à comprendre plus loin, j’ai juste été dans la cuisine pour préparer le goûter et te demander de te charger de faire venir Léa.

Je me souviendrais toujours de l’anxiété qui dominait tes traits, lorsque t’es venue dans la cuisine, me faisant remarquer un point important : Simba avait cessé d’aboyer, alors qu’il l’avait fait ponctuellement lors de son jeu avec Léa. Ce fut le pire instant de toute ma vie. Bon, j’sais qu’elle est assez courte pour l’instant, mais t’as compris l’idée ! On a cherché Léa partout, mais elle était déjà bien loin. C’est ma mère, en revenant, qui a compris ce qui c’était passé : nous étions involontairement devenus les principaux protagonistes d’une sombre affaire familiale. Mon père n’avait pas supporté de se voir retirer la garde de ses enfants, pour ne nous avoir que pendant certaines vacances. Cet événement a achevé de briser ma famille, me faisant peu à peu perdre ma mère, qui m’en a voulu pour ma brève négligence dans ma surveillance de Léa, qui t’en as également voulu pour les mêmes raisons, et qui en a également voulu à ta famille, qui se trouvait chez tes grands-parents paternels au moment des faits, et qui n’ont rien vu. Tu l’sais bien, J., la peine peut engendrer des réactions à la con. Le rejet de ma personne et de ta famille fut celle de ma mère. Le rejet de ma personne, de ta famille et de toi fut la mienne. Je me méprisais, autant que je méprisais les Poquelin. Je t’ai dis des horreurs. Parce que je m’en voulais, et que j’en voulais aussi à ma mère de ne pas me soutenir dans ce drame. M’en prendre à toi fut la seule solution que j’avais alors trouvée pour extérioriser ma souffrance.

Je t’ai rejeté, violement. Je ne voulais plus entendre parler de toi. Je ne voulais même rien entendre au sujet de tes sentiments par rapport à cet événement. Je t’ai dis des horreurs, littéralement. Je t’ai tellement repoussée que t’as finis par supplier tes parents de rentre chez vous, ou du moins, de précipiter votre séjour en Islande, dans ta famille maternelle. Seul ton père est resté le temps initialement prévu, il a essayé d’aider ma mère à retrouver Léa. Mais ils ont fait chou blanc, et plus ton père essayait de réconforter ma mère, plus elle le repoussait, et plus je détestais l’ensemble de ta famille. Suite à ça, j’ai cessé de t’écrire. J’ai même été jusqu’à brûler toutes les lettres que tu m’envoyais. Ma mère repoussait en bloc toutes les invitations de tes parents pour que nous allions vous voir en Afrique. Voici comment notre amitié a connu une pause de 5 ans. »


« Te souviens-tu, Jehanne, de la promesse que nous nous étions fait, enfants ? De toujours veiller l’un sur l’autre ? Car nous avions appris très tôt qu’une seule chose ne changerait jamais dans nos vies : nous serions toujours présents l’un pour l’autre. Nous nous réconfortions lorsque nous déménagions, au gré des mutations de nos parents. Nous nous sommes même beaucoup chamaillés lorsque l’on rentrait dans la seule maison que nous avons tous considérés comme étant chez nous : celle que nous occupions à Madagascar, le seul semblant de pied-à-terre familial. Nous nous serrions les coudes lorsque nous nous retrouvions confrontés au racisme anti-blanc. Nous nous épaulions dans notre cursus scolaire pour le moins hors-normes. Lorsque nous étions dans des pays où l’école pouvait nous accueillir, nous suivions quelques cours avec les autres élèves, mais, la plupart du temps, nous étions encadrés par quelques profs de l’ONG dont nos parents faisaient parti. Je détestais être scolarisé à domicile, bien plus que toi, d’ailleurs, car tu avais du mal à te lier d’amitié avec les autres enfants de ton âge. Ca me rendait parfois fou de te voir toujours coller à moi. A l’époque, il m’arrivait de croire que nos 5 ans d’écart nous rendaient trop différents, et pourtant, aujourd’hui, je sais que c’est juste une connerie. Je voulais juste que ma petite sœur me lâche parfois les baskets. Maintenant, je donnerais tout pour que tu me colles à nouveau, comme avant....

Tu venais souvent te glisser dans mon lit lorsque tu faisais des cauchemars. Tu refusais de monter dans un avion si nous n’étions pas côte-à-côte. Tu te cachais toujours derrière moi, timide, lorsque nous allions voir notre famille en Islande, et même celle en France, sans oublier lorsque nous allions voir le meilleur ami de papa en Angleterre. Tu me pressais toujours pour que je termine les mangas, à peine les avais-je eut en récompenses par les parents, ou acheté de moi-même, que tu voulais déjà les lire. Tu jouais les infirmières pour moi lorsque j’étais malade. Tu me lançais ton regard triste lorsque je partais jouer avec mes copains, sans toi, pour que je finisse enfin par t’amener avec moi. Tu refusais de sortir seule, lorsque nous étions à l’étranger, et même lorsque nous venions d’arriver dans un nouveau pays d’Afrique. Tu te foutais de moi lorsque je faisais du théâtre, avant que je n’aie réussis à te convaincre d’en faire à ton tour. Tu me cassais les pieds dès que d’autres gamins t’emmerdaient, car tu savais parfaitement que j’allais le leur faire payer, ne supportant pas que l’on se comporte mal avec ma petite sœur. Tu es venue te réfugier dans mes bras, terrifiée, lors du 6ème anniversaire d’Arthur, parce qu’un clown t’avait fichue la frousse. Tu m’as foutu la honte des centaines de fois en voulant jouer au foot avec mes potes et moi, parce que tu te vautrais à chaque fois, provoquant l’hilarité de l’assemblée. T’as même commencé à être plus collante avec moi après qu’Arthur t’ait fait comprendre qu’il ne voulait plus de votre amitié !

Te souviens-tu de la tristesse que tu as ressentie à la mort de notre grand-mère maternelle ? Je te revois encore, du haut de tes 9 ans, lorsque tu as compris, triste et amère, que tu ne pourrais plus connaître cette branche de notre famille. Car grand-père était mort 2 ans après ta naissance, et maman était fille unique. Tu avais peur que nous n’ayons alors plus de raison d’aller en Islande, pays dans lequel nos parents nous envoyaient parfois, durant les vacances scolaires. Tu n’as pas voulu quitter la chambre que tu occupais chez grand-mère avant que nos parents ne te promettent que nous allions continuer à venir, tous ensemble. Je crois que c’est à cette époque que tu m’as fais réaliser qu’il fallait que nous soyons fiers de ne pas avoir une enfance comme les autres, de ne pas avoir réellement un pays à qualifier de pays natal, d’avoir déjà voyagés dans divers pays, de divers continents, alors que d’autres n’avaient même jamais quitté leur pays. Cette prise de conscience, tu l’as prise plus tardivement que moi. Car moi, contrairement à toi, j’avais des tonnes de potes, mais pas de véritables amis avec lesquels entretenir une correspondance postale ni même chez lesquels aller souvent en vacances. Toi, tu n’avais pas beaucoup de potes, mais tu avais un réel ami : Arthur, que tu ne pouvais voir que lorsque nous étions à Provins, ou lorsqu’il venait nous voir. Tu sais, je crois qu’Arthur, je l’ai béni des centaines de fois, car lorsqu’il était dans les parages, moi, je n’existais plus. Personne n’existe de toute manière, pour toi ou pour lui, lorsque vous êtes ensemble. Ca vous a valu d’être considéré par certains comme un véritable couple. Mais vous n’avez jamais été autre chose que les meilleurs amis du monde. Et, honnêtement, il y avait des moments où je vous jalousais. Je me faisais rapidement apprécier, mais je n’avais pas réussis à nouer une amitié aussi sincère que celle qui t’unit au voisin de nos grands-parents paternels. Je ne te l’ai jamais avoué, mais j’avais parfois peur qu’il te vole à moi, que tu ne lui réserves plus qu’à lui tes regards admiratifs qui m’étaient bien souvent destinés.

Je t’avoue, par contre, que je l’aurai volontiers étripé lorsqu’il a mit un terme à votre amitié, suite à la disparition de Léa. C’était injuste de sa part, et de celle de sa mère, de te faire croire que tu étais en partie responsable de cet enlèvement ! J’pense que t’as pas fait gaffe, mais c’est d’ailleurs suite au kidnapping mais aussi après que tu ais compris que ton amitié avec Arthur était finie, que t’as commencé à te colorer les cheveux. Tu l’as jamais dis à personne, du moins, je t’ai jamais entendu le dire clairement, mais j’sais que c’était pas juste par ennui que ça t’as pris. T’avais découvert que le monde était entièrement rempli de pourris, que le malheur n’a pas son QG dans les pays pauvres, et qu’il ne touche pas uniquement les autres. T’avais compris que ce monde était bien plus sombre que tu ne l’avais envisagé jusqu’alors. Et cette noirceur a commencé à assombrir ton horizon. Alors, pour éviter de perdre pied, t’as voulu mettre de la couleur sur tes cheveux, pour en mettre à nouveau dans ta vie mais aussi dans celle des autres. J’avoue que j’ai trouvé ça étrange au début, mais, une fois que j’ai réussis à comprendre ce qui te motivait à faire cela, j’ai apprécié l’originalité de la chose. Même si on ne cessait de nous regarder étrangement lorsqu’on nous croisait à tes côtés. Plus tes cheveux étaient déjantés, et plus les gens te fixaient étrangement. Plus l’indifférence d’Arthur se faisait forte et te blessait, et plus les regards des gens te permettaient de prendre conscience que non, tu n’étais pas en train de disparaître de l’humanité.

Tu t’en doutes, car tu m’as grillé à quelques reprises même si j’ai toujours nié, mais dès qu’on allait à Provins, j’allais voir Arthur en douce, pour le convaincre de cesser de te faire la gueule. Je refusais que votre amitié se termine aussi connement, alors que vous aviez besoin l’un de l’autre, plus que jamais. Un truc que t’ignore, par contre, c’est que je l’avais convaincu d’aller te voir, juste avant que je ne retourne à Madagascar avec papa, te laissant à Provins avec maman. Juste avant l’accident... Je voulais qu’il veille sur toi lors de mon absence. Je me souviens avoir été un peu jaloux de vos futures retrouvailles, car je savais que pendant plusieurs semaines, on n’entendrait parler plus que d’Arthur à la maison ! Paradoxalement, maintenant, je sais que j’ai été stupide d’être jaloux. Car, sans lui, à ma mort, tu te serais effondrée. Il a été ton pilier. Il l’est toujours, d’ailleurs. J’ai été ton frère de sang, celui que la vie lui est ton frère de cœur. »


« Je me souviens que juste avant que je ne parte pour l’aéroport, en compagnie de ton frère, tu m’as demandé pourquoi j’avais choisis d’être médecin pour une ONG. Tu venais à peine d’apprendre que ma famille était richissime, au point que j’aurai pu ne jamais travailler de ma vie, et pourtant, offrir une vie de luxe aux miens. Tu as choisis de l’oublier, d’ailleurs, mais tu m’as même reproché de vous avoir imposé une telle vie. Tu aimais notre vie, on le savait tous, on avait tous remarqué le plaisir que tu avais à vivoter en Afrique, à te délecter de la culture de ce pays, à t’ébahir de la faune et de la flore, à apprendre des choses que tu n’aurais jamais pu apprendre si tu avais eu une enfance normale, à voyager à travers le monde lors de nos vacances, à découvrir le logement qui serait le nôtre pour quelques mois.... Bien entendu, tu savais que nous étions différents, tu avais rencontrés certains de nos collègues, à ta mère et à moi. Tu avais rencontré leur famille, et tu avais remarqué que notre train de vie différait du leur : eux ne pouvaient se permettre de voyager aussi régulièrement durant leurs vacances, ni d’envoyer à leur famille restée au pays l’argent pour les faire venir jusqu’à eux. Te souviens-tu que lorsque je t’ai parlé de la fortune familiale, tu m’as interrogé pour savoir pourquoi je ne donnais pas de l’argent à des œuvres caritatives, pour aider à la recherche médicale ou alors des gens dans le besoin ? C’est Louis qui t’a expliqué que nous donnions déjà à plusieurs associations, et que ta mère et moi avions consacrés notre vie à aider les autres, sur le terrain, et pas seulement en se contentant de signer quelques chèques. Que si nous donnions plus, nous ne pourrions profiter de nos familles qui vivaient à l’autre bout du monde. Que nous devrions nous séparer de notre maison à Madagascar. Que le peu de luxe que nous nous accordions appartiendrait à de l’histoire ancienne. Que même les contacts par courrier, par téléphone ou par internet, avec nos proches, se feraient plus rares. Et c’est là que tu as compris une chose: l’argent peut presque tout acheter, mais ne suffit pas à guérir les maux de l’Humanité. T’en avais déjà pris conscience avec l’épisode du kidnapping de Léa, car tous les moyens avaient été mis en œuvre pour la retrouver.

Tu as dû l’oublier, depuis le temps, mais tu t’es alors tournée vers ton oncle, que tu as observé, quelques minutes, silencieuse. Tu n’as rien dis, mais j’ai compris ce qui t’es passé par la tête. J’ai toujours réussis à te comprendre assez instinctivement, bien plus facilement que ta mère n’a jamais pu lire en toi, mais avec cependant bien moins de facilités que ton frère ne pouvait le faire. Ton oncle et les siens vivaient dans l’oisiveté la plus complète, à tel point que notre famille et la leur n’avait rien en commun, hormis de partager le même patronyme et patrimoine génétique. Ils se complaisaient à étaler leur richesse devant tout le monde. Cette opulence t’excédait depuis toujours, et ce jour-là, tu as compris que nous aurions pu être aussi superficiels, vaniteux et égoïstes qu’eux. Une simple perspective qui t’as dégoûtée. Tu t’es alors tournée vers moi, tu m’as prise dans tes bras, et, tout en me serrant pour me dire au revoir, tu m’as dis combien tu étais fière du choix que ta mère et moi avions fait, combien tu nous admirais. Ce sont les dernières paroles que tu m’as lancées, alors que je te laissais en France, avec ta mère. Ce fut notre dernière étreinte, avant qu’un accident ne prenne ma vie, et celle de ton frère. J’aurai tellement aimé avoir plus de temps avec toi, avec l’ensemble de notre famille. Mais je n’en ai pas eu l’occasion. »


« Les mois qui suivirent la mort de ton père et de ton frère furent durs, pour ta mère et pour toi. Ta mère avait voulu reprendre votre train de vie d’antan, mais ça ne vous convenait pas, ni à l’une, ni à l’autre. A maintes reprises, j’ai répété à ta mère qu’il serait plus judicieux pour vous de vous installer à Provins, chez nous ou à proximité. Elle a toujours refusé, farouchement, prétextant que cela nuirait à ton équilibre qui n’avait été que trop fragilisé à cause de l’accident d’avion qui avait coûté la vie à ton père et à ton frère. Elle n’a accepté que lorsque tu as finis par la supplier de quitter votre maison à Madagascar. C’est ainsi que vous avez pu prendre conscience que continuer votre vie comme avait était au-dessus de vos forces, que ça vous insupportait de continuer à fréquenter des lieux si importants pour votre famille, car les fantômes de vos disparus ne cessaient de planer autour de vous. Vous avez enfin déménagés pour vous rapprocher de ton grand-père et moi, la seule famille qui vous restait.

Les premiers temps furent durs, pour vous comme pour nous. Même si nous étions heureux de vous avoir enfin auprès de nous. Le plus dur pour moi fut de voir que tu avais continué ta lubie de drôles de teintures capillaires, que celles-ci avaient même empirés depuis l’accident d’avion, tes cheveux arboraient à présent de multiples couleurs, cachant entièrement ton brun naturel. Celui que tu tiens de ton père. Et que ton frère avait également hérité. Nul besoin d’être devin pour se douter que tes couleurs sont une manière pour toi de faire disparaître toutes traces de ressemblances entre toi et eux. Si tu penses duper ta grand-mère, tu te trompes, ma puce. Certes, je n’ai pas eu la chance de te voir aussi fréquemment que je l’aurai souhaité lors de ton enfance, mais je n’en suis pas moins en mesure de te comprendre. Par la suite, je pense que c’est devenu pour toi un moyen de mettre une touche de folie dans ta vie et d’illuminer à nouveau le regard de ta mère, éteint depuis les deux morts. Et puis, à un peu moins de 17 ans, t’avais déjà connu bien trop de bouleversements dans ta vie pour ne pas te voir autoriser une telle extravagance.

Arthur est rapidement venu te voir, lui qui avait évité de se rendre aux enterrements. Je crains qu’il n’avait alors peur d’être de trop pour un tel moment, à cause de la tension existante entre vos deux familles. Tu sais, avant qu’il n’ait enfin le courage de venir te, je l’ai vu tourner autour de la maison, pendant plusieurs jours. C’est vraiment à son contact que tu as enfin commencé à faire ton deuil. Il t’a incité à reprendre le skate-board, à continuer également le théâtre que tu avais refusé de continuer sans ton frère et c’est avec lui que tu as commencé à apprendre à cracher du feu. Ce qui, de toi à moi, est tout sauf une bonne idée, mais bon, tu es grande, alors je n’ai rien à dire en ce qui concerne ta vie. Ca n’a pas vraiment plu à ta mère non plus, mais elle aussi, elle n’a rien dit, car on savait toutes les deux qu’Arthur t’avait aidé à sortir la tête de l’eau. Il t’a présenté à ses autres amis, car tu refusais d’aller en classe, tu préférais suivre des cours à domicile. T’es assez têtue dans ton genre, tu sais ça ? Toutefois, je ne vais pas me plaindre, car cela m’a permis de profiter encore plus de ta présence, après tant d’années passées à ne te voir qu’occasionnellement. Même si j’ai déchanté en voyant que tu avais dans l’idée de devenir souffleuse de verre. Dire que cette idée folle t’es venue d’un séjour passé en France, avec ta famille, quand tu n’avais que 11 ans, et que vous aviez été voir un atelier de souffleurs. Tu avais gardé cette idée dans un coin de ton esprit, n’en parlant visiblement qu’à Louis et Arthur. Et comme presque tout ce que tu entreprends, tu as réussis à atteindre ton objectif. »


« Tu sais, à mon époque, tu aurais été considérée comme une extraterrestre, avec tes cheveux, mais aussi avec l’ensemble de ta personnalité, sans oublier ton mode de vie. Mais, je crois que ça ne te ferait pas grand-chose, car, même à l’heure actuelle, tu dois subir les critiques de certaines personnes. Mais tu es forte, tu tiens à des Poquelin, t’es bien ma petite-fille ! Ca serait cependant une bonne chose que tu en prennes conscience. Ton père serait fier de toi, de voir la femme que tu es devenue. A ta façon, tu suis ses traces, en donnant de ton temps et de ton énergie à diverses causes caritatives. Tu continues à refuser de te fixer à un endroit, en voyageant à travers le monde le plus souvent possible. A l’instar de ton père, tu fais quelques folies, comme d’aller à Las Vegas avec Arthur et quelques amis pour un petit séjour, et revenir mariée à un inconnu. Je dois bien être l’une des rares personnes à savoir pourquoi votre mariage n’a pas été annulé dès le lendemain matin. Du moins, en ce qui te concerne, au sujet de Siegfried, je n’ai que quelques pistes.

Tu sais, c’est bien beau de vouloir que ta mère parte en paix. Qu’elle tente de se consacrer dans la lutte contre sa maladie plutôt qu’elle passe son temps à se ronger les ongles à ton sujet. Qu’elle redoute de te voir un jour trouver un homme qui saura t’aimer comme mon fils a pu l’aimer. Qu’elle ait peur que tu n’ais jamais l’occasion de fonder ta propre famille. Mais Jean, il serait bien que tu gardes une chose en tête : tu es mariée, à un homme plutôt aimable, je te l’accorde, mais tu ne l’aimes pas. Pas assez, du moins, pour prendre ce mariage pour autre chose qu’une vaste blague. Et de ce fait, pas assez pour réaliser les rêves de ta mère. Alors, cette mascarade, ma puce, elle ne sert à rien, tu le sais, au fond de toi, j’en suis sûr. J’espère juste que tu en prendras conscience avant qu’il ne soit trop tard. Il serait bête que tu réalises que tu passes à côté de ta vie lorsqu’il sera trop tard pour remédier à cela et te construire ta famille. Il serait dommage que tu rencontres quelqu’un qui pourrait t’aimer et préférera ne rien faire car tu es mariée. J’espère que tu sais ce que tu fais, ma grande !

Et surtout, n’oublie pas de revenir nous voir, de temps à autre. Car tu as certes pu faire venir ta mère avec toi, pour l’avoir à tes côtés et essayer de lui trouver les meilleurs médecins qui soient, n’oublie pas que le reste de ta famille est en France. Je sais cependant qu’Arthur veille avec soin sur toi, comme il l’a toujours fait, depuis que vous avez enfin cessés de vous ignorer l’un l’autre. J’espère aussi que ta vie s’apaisera enfin, et qu’elle sera heureuse. »


« C’est drôle quand on y repense… A cette rencontre peu banale. J’étais bourré, autant qu’on peut l’être ; n’ayons pas peur des mots. Surtout quand ces derniers disent la vérité. Toi… T’avais bu. Au moins autant que moi si ce n’était pas davantage. Nous avons commencé par discuter… De façon tout à fait innocente. Et ça a dérapé. Je sais pas comment, je sais pas pourquoi. Je sais pas si c’est toi ou moi qui a lancé le sujet et au fond, je m’en fous. Parce que les faits, eux, ils sont bien présents. Nous avons fait certaines choses puis, nous nous sommes dits « oui ». T’y crois toi ? Deux inconnus qui se rencontrent dans un bar et qui en ressortent le lendemain en se rendant compte, en décuvant, qu’ils sont mariés. Mariés… Au départ, je pensais que c’était une belle connerie de m’être embarqué là-dedans. J’en suis même venu à me demander pourquoi j’étais venu dans ce bar et pourquoi il avait fallu que je fasse ta rencontre. On ne va pas se cacher ni se mentir, nous avons tous les deux penser à annuler ce mariage dès que nous avons repris nos esprits. Mais à la dernière minute, nous avons compris que ce dernier pourrait finalement être comme une sorte de porte de sortie. Nous avons tous les deux vu un intérêt à rester en couple et mariés aux yeux des autres. Toi, je crois que tu as fait ça pour ta mère, malade… Parce que tu veux qu’elle puisse partir en voyant sa fille heureuse et comblée, si j’ai bien compris. Je connais pas ta vie en détails, je ne sais pas réellement ce qui te lie à ta mère ou au reste de ta famille. Néanmoins, ça ne m’empêche pas de respecter ton choix. Moi, si j’ai fait ça, si j’ai accepté de poursuivre cette mascarade, c’est particulièrement pour rendre mon ex-femme jalouse. Ouais je sais, c’est moche et bien moins glorieux et respectable que ta cause mais j’veux pas inventer un truc. Ça ne servirait à rien. Alors ouais, on n’est peut-être pas un véritable couple. On n’a peut-être pas la relation qu’on devrait avoir… Mais au moins, on peut se vanter que tout est toujours clean entre nous. On sait à quoi s’attendre de la part de l’autre. Pas de mensonges. Et ça, je me demande si, au final, ça ne rend pas notre relation potentiellement plus saine que celles que peuvent avoir les autres ? Tu n’es pas d’accord, Jean ? Et tu vois, je pense qu’on a aussi cet avantage de se moquer du regard des gens qui nous sont extérieurs. Tu colores tes cheveux de toutes les couleurs possibles… Et entre nous, il y a treize ans d’écart. Pourtant, on s’en fout. Quelque part, je trouve que c’est assez magique… Et amusant, en fait.

Et tu sais, je t’apprécie. Je t’aime quand même. Peut-être pas d’un amour fort et sincère qui est censé être le nôtre mais je t’aime. De mon point de vue, tu es une fille superbe, blessée et rendue vulnérable par les aléas de ta vie mais en même temps, c’est aussi ce qui fait ta force, pas vrai ? Ainsi que ton charisme. Tes cheveux multicolores, moi, je ne les juge pas. C’est pas mon genre. Je te prends pas pour une folle. Je t’accepte telle que tu es, parfois, je t’admire aussi pour ce que tu es. Et ces couleurs, elles font parties de toi, elles te rendent encore un peu plus unique, plus extravagante. Les gens n’aiment pas ce qui n’est pas comme eux mais moi, j’m’en fous. Et tu sais Jean, même si notre fausse histoire doit s’arrêter à la mort de ta mère, je pense que je ne regretterai rien de tout cela. J’irai même jusqu’à dire... Que je voudrai continuer à pouvoir te parler et être à tes côtés de temps en temps. Pour te protéger. Je sais que tu n’es déjà pas toute seule, évidemment. Cela dit, je ne pense pas qu’un soutien sincère supplémentaire puisse te faire du mal. Je sais que tu as déjà Arthur à tes côtés et je le respecte. Je me dis que c’est un peu grâce à lui que nous nous sommes rencontrés. Tu vois ? Si tu n’étais pas sortie avec lui et ses amis, nous ne nous serions probablement pas croisés. Enfin je dis ça mais ça aurait aussi pu être positif de ne jamais se rencontrer. Bien que ça reste une hypothèse. En tout cas, ton meilleur ami, je crois que je l’aime bien. Je pense qu’il t’apporte beaucoup et qu’il ne faut pas que tu le perdes. Un ami comme ça, nous n’en avons qu’un dans toute une vie. On peut avoir des milliers de potes, de connaissances mais des vrais amis, ceux qui sont avec vous depuis des années, qui ne vous cache rien, avec qui vous pouvez rigoler et qui vous prête toujours une oreille attentive… Ce sont eux, les plus importants. Mais bref, je divague. Ce que je veux te dire, c’est que je ne sais pas si je saurai t’apporter le bonheur que ta famille désire pour toi, je ne sais pas si nous irons jusqu’à fonder une famille comme un couple dit « normal » peut songer à le faire… Je ne sais pas ce que l’avenir réserve à notre mensonge. Mais putain Jean, je peux te promettre que, tant que nous serons mariés, je ferai tout pour ne pas faire de crasses. Parce que vois-tu, trois ans, c’est à la fois long et court (tout dépend du point de vue) mais pour moi, ça a été suffisant pour que je m’attache à toi. Que tu le veuilles ou non. »


« Je m’appelle Jean. J’ai 25 ans. Officiellement, je suis franço-islandaise. Officieusement, je suis une enfant du monde. J’ai grandis entre l’Afrique, la France, l’Islande, l’Angleterre... Non, en fait, j’vais pas vous faire la liste de l’ensemble des pays dans lesquels j’ai pu séjourner au cours de mon enfance. Je vis depuis 3 ans dans le petit village de Blossom Hills. J’y vis avec mon mari. Ouais, j’suis mariée depuis 3 ans maintenant, avec un type que j’ai rencontré à Las Vegas. Et que j’ai épousée lors d’une soirée. L’une des rares soirées de ma vie durant laquelle j’ai bu au point d’être dans le brouillard ! Entre nous, on ne peut pas dire qu’il y a véritablement de l’Amour, juste une belle affection. Et puis, on a tous deux nos raisons de maintenir ce mariage. C’est d’ailleurs pour lui que j’suis venue à Blossom Hills. Et c’est pour changer d’air qu’Art’, mon meilleur pote, m’a suivit. Il se prend parfois pour mon grand frère, mais il est adorable en dehors de ça ! Avec Arth’, on s’est pris un atelier qu’on se partage, moi, j’suis souffleuse de verre, lui, il fait des vitraux. Oh, et y’a ma mère aussi, qui est hospitalisée dans la ville voisine. Elle est gravement malade, et c’est pour elle que je reste mariée. Même si, honnêtement, je sais pas ce que je vais faire à sa mort, si je vais poursuivre ce mariage ou demander le divorce, parce que j'ai appris à aimer Siegfried au fil du temps, quand même ! Mais, j’y suis pas pour l’instant, donc, j’aviserai plus tard ! De toute façon, si vous voulez en savoir plus sur moi, vous n’avez qu’à suivre la suite de mes aventures. Vous pouvez pas m’louper, avec ma tignasse multicolore ! Par contre, j’vous promets pas que ça sera bien passionnant hein ! »

Petite précision:

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MessageSujet: Re: Jean « Tout l’intérêt de l’art se trouve dans le commencement. Après le commencement, c’est déjà la fin. »   Jean  « Tout l’intérêt de l’art se trouve dans le commencement. Après le commencement, c’est déjà la fin. » EmptyLun 12 Oct 2015 - 13:10
re-bienvenue chez toi petit panda et bonne continuation pour ta fiche heart

Jules Cartwright
Jules Cartwright

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QUARTIER : Apple Blossom Square
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MessageSujet: Re: Jean « Tout l’intérêt de l’art se trouve dans le commencement. Après le commencement, c’est déjà la fin. »   Jean  « Tout l’intérêt de l’art se trouve dans le commencement. Après le commencement, c’est déjà la fin. » EmptyLun 12 Oct 2015 - 14:29
Re bienvenue :D

Andy Duncan
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MessageSujet: Re: Jean « Tout l’intérêt de l’art se trouve dans le commencement. Après le commencement, c’est déjà la fin. »   Jean  « Tout l’intérêt de l’art se trouve dans le commencement. Après le commencement, c’est déjà la fin. » EmptyLun 12 Oct 2015 - 19:47
Waouw, j'adore les rainbow hair ananas

Re-Bienvenue par ici Raphy coeur

Bon courage pour ta fiche calin

Joseph Neils
Joseph Neils

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MULTICOMPTES : Ruby Godwinson

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QUARTIER : Apple Blossom Square



MessageSujet: Re: Jean « Tout l’intérêt de l’art se trouve dans le commencement. Après le commencement, c’est déjà la fin. »   Jean  « Tout l’intérêt de l’art se trouve dans le commencement. Après le commencement, c’est déjà la fin. » EmptyLun 12 Oct 2015 - 20:23
CES CHEVEUUUUUX !!! excited bave
J'suis trop fan, je voudrais presque les mêmes tien siffle

Re-bienvenue avec des boobs cette fois et bon courage pour ta fiche ! cute

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MessageSujet: Re: Jean « Tout l’intérêt de l’art se trouve dans le commencement. Après le commencement, c’est déjà la fin. »   Jean  « Tout l’intérêt de l’art se trouve dans le commencement. Après le commencement, c’est déjà la fin. » EmptyLun 12 Oct 2015 - 23:46
Reuuuuuuuuuuuuuuuuuh par ici avec ce super choix d'avatar ananas clap bave Chloe, elle dépote string
Bon courage pour cette nouvelle fichette superman

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MessageSujet: Re: Jean « Tout l’intérêt de l’art se trouve dans le commencement. Après le commencement, c’est déjà la fin. »   Jean  « Tout l’intérêt de l’art se trouve dans le commencement. Après le commencement, c’est déjà la fin. » EmptyLun 12 Oct 2015 - 23:49
Merci à tous, les barges ! calin
Héhé, je savais que ses cheveux feraient sensation, elle passe pas inaperçue au moins ! mdr

J'espère que ma p'tite Jean vous plaira ! rock

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MessageSujet: Re: Jean « Tout l’intérêt de l’art se trouve dans le commencement. Après le commencement, c’est déjà la fin. »   Jean  « Tout l’intérêt de l’art se trouve dans le commencement. Après le commencement, c’est déjà la fin. » EmptyMar 13 Oct 2015 - 7:03
Re-bienvenue épouse de mon futur compte ! 8D Hâte de lire tout ça ! clap
(T'as vu ? Tu l'as eu ton bienvenutage ! ananas)

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MessageSujet: Re: Jean « Tout l’intérêt de l’art se trouve dans le commencement. Après le commencement, c’est déjà la fin. »   Jean  « Tout l’intérêt de l’art se trouve dans le commencement. Après le commencement, c’est déjà la fin. » EmptyMar 13 Oct 2015 - 9:31
Rebienvenue !!!!!!!!!!

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MessageSujet: Re: Jean « Tout l’intérêt de l’art se trouve dans le commencement. Après le commencement, c’est déjà la fin. »   Jean  « Tout l’intérêt de l’art se trouve dans le commencement. Après le commencement, c’est déjà la fin. » EmptyMar 13 Oct 2015 - 11:28
Elle est magnifique Chloé cute
ReBienvenue ici duck

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MessageSujet: Re: Jean « Tout l’intérêt de l’art se trouve dans le commencement. Après le commencement, c’est déjà la fin. »   Jean  « Tout l’intérêt de l’art se trouve dans le commencement. Après le commencement, c’est déjà la fin. » EmptyMar 13 Oct 2015 - 21:53
Joan : Héhé, notre duo va claquer ! excited Ou pas mouai

Et merci à vous, Az & Ava ! luv

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MessageSujet: Re: Jean « Tout l’intérêt de l’art se trouve dans le commencement. Après le commencement, c’est déjà la fin. »   Jean  « Tout l’intérêt de l’art se trouve dans le commencement. Après le commencement, c’est déjà la fin. » EmptyMer 14 Oct 2015 - 0:47
Jean-Jean, Jean Valjean, Petit Jean.... siffle
Bref avec un prénom pareil, crois moi tu vas avoir le droit à des surnoms de merde mon gars mdr

Jean  « Tout l’intérêt de l’art se trouve dans le commencement. Après le commencement, c’est déjà la fin. » Tumblr_ncna1pxF6x1sl21koo1_500

Maintenant parlons de tes cheveux...

Jean  « Tout l’intérêt de l’art se trouve dans le commencement. Après le commencement, c’est déjà la fin. » Tumblr_n0zopxm89V1rl9wsdo1_500

Jean  « Tout l’intérêt de l’art se trouve dans le commencement. Après le commencement, c’est déjà la fin. » Anigif_enhanced-buzz-32314-1420594204-15

Bref rien qu'au début de ta fiche, je sais déjà que ton personnage va dépoter sa race !!!! excited excited excited
Allez écris nous encore une nouvelle histoire qu'on va dévorer une fois de plus coeur clap

Puis pour ce qui est du reste, tu connais le chemin hein siffle

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MessageSujet: Re: Jean « Tout l’intérêt de l’art se trouve dans le commencement. Après le commencement, c’est déjà la fin. »   Jean  « Tout l’intérêt de l’art se trouve dans le commencement. Après le commencement, c’est déjà la fin. » EmptyVen 16 Oct 2015 - 0:46
Merci Ahi ! coeur Enfin, moins pour les surnoms à la con que pour le message de rebienvenue ! mdr
Et ma fiche ne cesse d'être modifié au gré de mes envies, du coup, il te faudra sans nul doute la relire une fois qu'elle sera terminée, car elle risque de pas mal évoluer d'ici-là ! red J'arrête pas de rectifier des trucs à la con, d'ajouter d'autres idées roule Et pour mon histoire, je préviens : la forme que j'ai choisis, c'est une grande première pour moi, du coup, bah... Voilà, désolée d'avance si ça fait un peu bizarre trouillard
Bref, je tente de terminer la fiche au plus vite (mais je crains qu'elle ne soit longue en fait Jean  « Tout l’intérêt de l’art se trouve dans le commencement. Après le commencement, c’est déjà la fin. » 3091367781 hide )

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MessageSujet: Re: Jean « Tout l’intérêt de l’art se trouve dans le commencement. Après le commencement, c’est déjà la fin. »   Jean  « Tout l’intérêt de l’art se trouve dans le commencement. Après le commencement, c’est déjà la fin. » EmptyDim 18 Oct 2015 - 14:59
excited excited excited

Gin Tonic ! coucou (ouais, j'sais que l'alcool et toi c'est pas une histoire d'amour, mais je m'en fiche. boude)
Mon p'tit Pantalon multicolor. coeur

excited excited excited

J'suis trop happy que tu te décides -ENFIN !- à te dédoubler. fangirl J'viens de lire le début de ta fiche, putain, Jean  « Tout l’intérêt de l’art se trouve dans le commencement. Après le commencement, c’est déjà la fin. » 3861787415 j'suis déjà trop fan du perso (et de ta plume aussi, mais ça c'est pas nouveau !). J'sens que tu vas encore nous faire un personnage de malade mentale et j'ai hâte de suivre ça de plus près. yeahh

Enfin bon, t'es sexy en demoiselle. sourcil

Re-bienvenue chez toi ! J'ai hâte de lire la suite et même si t'as pas l'habitude d'écrire ton histoire de cette façon, moi j'adooore ! respect (ouais, j'suis ta fan number one. bril)

Tu sais déjà qu'on est taré, c'est d'ailleurs pour ça que tu t'es dédoublé parce que tu l'es aussi. mdr

Si t'as des questions, tu sais où nous trouver. Dépêche toi de finir ta fiche, j'veux lire la suuuuite ! coucou

Caden Gates
Caden Gates

JE SUIS ARRIVÉ À BH LE : 22/07/2015
EXTRAITS POSTÉS : 62
AVATAR : Evan Peters
PSEUDO : lilith


MessageSujet: Re: Jean « Tout l’intérêt de l’art se trouve dans le commencement. Après le commencement, c’est déjà la fin. »   Jean  « Tout l’intérêt de l’art se trouve dans le commencement. Après le commencement, c’est déjà la fin. » EmptyLun 19 Oct 2015 - 17:01
re bienvenue ^^

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MessageSujet: Re: Jean « Tout l’intérêt de l’art se trouve dans le commencement. Après le commencement, c’est déjà la fin. »   Jean  « Tout l’intérêt de l’art se trouve dans le commencement. Après le commencement, c’est déjà la fin. » EmptyLun 19 Oct 2015 - 18:47
Oh, mon p'tit Jae qui va bientôt se faire un TC pour qu'on puisse avoir un lien d'enfer bril Et juste pour le plaisir de se faire un rp ensemble avec un lien démentiel et des persos qui déchirent tout ! roule Et prétends pas n'pas vouloir faire de TC, j'te crois pas, et j'te dirai : les fesses de JJ ouais ! roule
Ma fiche touche à sa fin, juste besoin d'une relecture (ça attendra, là, j'ai la flemme red ), et peut-être de faire 2-3 modif', et je pourrai la soumettre à ton jugement perv Ouais, j'ai attendu que tu aies les clés du royaume pour te foutre un pavé à lire oops Avoue, j'suis adorable ! youpii Et tu seras OBLIGEE de la lire en étant sur la cb en même, sinon, c'est pas drôle ! smile1


Merci Matthys ! hug

Eddie Bradburry
Eddie Bradburry

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Jean  « Tout l’intérêt de l’art se trouve dans le commencement. Après le commencement, c’est déjà la fin. » Tumblr_mq5i7uJaUv1szxfwno5_250
JE SUIS ARRIVÉ À BH LE : 05/08/2015
EXTRAITS POSTÉS : 72
AVATAR : Vinnie Woolson
PSEUDO : River
OCCUPATIONS : Plombier/En TIG. Il doit s'occuper d'une vieille aussi, on lui a dis que ça l'aiderait à s'mettre du plombs dans la tête..
QUARTIER : Peach Blossoms Area
I can feel the heat rising, everything is on fire
27 y.o Célibataire


Jean  « Tout l’intérêt de l’art se trouve dans le commencement. Après le commencement, c’est déjà la fin. » Tumblr_mq5i7uJaUv1szxfwno4_250

DebbieGroupe C (intrigue)JJ's birthdayAbbie



MessageSujet: Re: Jean « Tout l’intérêt de l’art se trouve dans le commencement. Après le commencement, c’est déjà la fin. »   Jean  « Tout l’intérêt de l’art se trouve dans le commencement. Après le commencement, c’est déjà la fin. » EmptyMar 20 Oct 2015 - 22:49
Ce choix merveilleux respect Ces rainbow hair c'est so fluffy que ça me fait papillonner bril
T'es magique et je la sens bien la Jean.. (y a rien de salace là-dedans, promis) amour

Tu m'fais rêver cookie

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MessageSujet: Re: Jean « Tout l’intérêt de l’art se trouve dans le commencement. Après le commencement, c’est déjà la fin. »   Jean  « Tout l’intérêt de l’art se trouve dans le commencement. Après le commencement, c’est déjà la fin. » EmptyMer 21 Oct 2015 - 11:53
Merci Eddie ! coeur Bien contente de voir que Jean semble plaire aux gens dance

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MessageSujet: Re: Jean « Tout l’intérêt de l’art se trouve dans le commencement. Après le commencement, c’est déjà la fin. »   Jean  « Tout l’intérêt de l’art se trouve dans le commencement. Après le commencement, c’est déjà la fin. » EmptyMer 21 Oct 2015 - 14:22


Bienvenue dans le roman !

"Connor t'a introduit(e) dans ses pages."



COMMENTAIRES SUR TA FICHE
Oh putain.  Jean  « Tout l’intérêt de l’art se trouve dans le commencement. Après le commencement, c’est déjà la fin. » 3861787415  Jean  « Tout l’intérêt de l’art se trouve dans le commencement. Après le commencement, c’est déjà la fin. » 3861787415
J'étais fan de toi avant, mais alors là, c'est définitif, j'crois que t'es définitivement la plus belle plume que j'ai croisé sur le RP ou sur le net même. Sérieusement, j'ai adoré lire ta fiche -même si j'ai dû la lire en plusieurs fois parce qu'on avait besoin de moi partout IRL-. Non mais vraiment, j'ai rigolé comme une con devant mon pc, j'ai eu les larmes aux yeux, j'ai genre vraiment trop kiffé. C'est parfait, franchement. J'adore ton personnage, le fait qu'il soit hyper développé, puis plein de détails à son propos. Putain, tu m'vends trop de rêve sérieux. bril
Bon à la lecture, je me suis dit plein de fois 'putain, il faut que je me souvienne de ça pour le relever' et j'avoue que maintenant j'ai oublié la moitié des trucs que j'voulais te dire. hide J'ai kiffé la référence à Simba, j'savais que t'étais fan de moi. Le fait qu'elle soit fan de nailart aussi, gosh, c'est mon dada IRL aussi (celui de la joueuse hein, JJ s'amuse pas à se peinturlurer les ongles) Le choix que t'as fait pour ton histoire. Je me suis encore plus attachée à la p'tite Jean en lisant tout ce que ses proches racontaient sur elle. Puis sa relation avec Arthur, j'adore. L'explication au fur et à mesure sur la raison de ses cheveux multicolors. Les références à l'Afrique et aux pays pauvres, à la misère du monde. Et j'pourrais encore écrire un roman sur tout ce que j'ai kiffé si ma mémoire ne me faisait pas autant défaut (heureusement que j'suis jeune, qu'est-ce que ce serait sinon !)
Je te valide avec un immense plaisir ! Et pour le TC, j'ai juste envie de te dire NON ! C'est mort je ne me ferais pas de TC, non, non. fuck
Encore une fois, j'adore, vraiment. J'ai hâte de découvrir ce que tu vas nous faire de la petite Jean parce que contrairement à ce qu'elle a dit, j'suis sûre que ce sera passionnant !


CONGRATS !
LES LIENS
Maintenant que tu es officiellement des nôtres, tu as ton pseudo en couleur, un logement, un métier, tu es fin prêt(e) pour l'aventure TCT !  superman Plus qu'à nous embarquer dans tes folles aventures, allez, vole petit papillon !
C'est pas le tout, mais le roman ne serait pas intéressant si les personnages ne vivaient pas d'aventures plus épiques les unes que les autres. Cours vite créer ta fiche de liens & passer sur celles des autres. Mieux tu t’intégreras, plus les lecteurs en réclameront !
LES SCENARIOS
LE FUN
Si tu as besoin d'un lien tout particulier, tu peux bien entendu créer ton scénario (deux maximum) ou bien effectuer une recherche de liens afin de trouver les éléments qui manquent à la vie de ton perso. Un amour, un frère, un coloc, fais ton marché et essaye de convaincre les lecteurs.
Mais l'essentiel dans tout ca, c'est surtout que tu t'amuses. RP avec qui tu veux, floode, squatte la chatbox, souhaite la bienvenue aux petits nouveaux comme tu aimerais qu'on t'accueille, donne vie au forum et deviens le chouchou de Gloria.  bril  



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MessageSujet: Re: Jean « Tout l’intérêt de l’art se trouve dans le commencement. Après le commencement, c’est déjà la fin. »   Jean  « Tout l’intérêt de l’art se trouve dans le commencement. Après le commencement, c’est déjà la fin. » EmptyMer 21 Oct 2015 - 16:43
Waouh, ça, c'est de la validation de folie hug
Tu sais que tu vas me faire rougir avec autant de compliments ? moh Surtout qu'en fait, le perso s'est presque construit tout seul, en écrivant son histoire via les quelques lignes que j'ai défini au préalable hide Bref, tu vas m'foutre la pression un jour, t'sais, avec ces compliments ! trouillard Alors, pour te faire pardonner, tu vas vraiment devoir te faire un TC ! T'veux pas jouer Art', à tout hasard ? siffle smile1 J'vais commencer son scénario, si jamais ça te branche, tu sais comment me contacter sourcil

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MessageSujet: Re: Jean « Tout l’intérêt de l’art se trouve dans le commencement. Après le commencement, c’est déjà la fin. »   Jean  « Tout l’intérêt de l’art se trouve dans le commencement. Après le commencement, c’est déjà la fin. » EmptyMer 21 Oct 2015 - 16:47
Mais non, pas de pression, chaque fois que t'écris un truc c'est trop parfait bril
Et arrête, en lisant, j'me suis dit qu'Arthur il était trop fou ! Non, non, non. Jamais. blasé Bref, je file de cette présentation avant de craquer pour un autre personnage. boude

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MessageSujet: Re: Jean « Tout l’intérêt de l’art se trouve dans le commencement. Après le commencement, c’est déjà la fin. »   Jean  « Tout l’intérêt de l’art se trouve dans le commencement. Après le commencement, c’est déjà la fin. » Empty
 
Jean « Tout l’intérêt de l’art se trouve dans le commencement. Après le commencement, c’est déjà la fin. »
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