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C'EST L’ÉTÉ, IL FAIT CHAUD... SUÇONS DES GLACES !
05.08.15. Le forum s'est fait une mise en beauté aux couleurs de l'été bril
Vous pouvez venir nous laisser vos impressions ici.
ATTENTION, ADOPTIONS & GROUPES
24.07.15. Merci de privilégier les groupes "les pollen" & "les oiseaux migrateurs".
Merci également d'éviter de faire de vos personnages des enfants adoptés, il y a en déjà beaucoup pour un petit village. roule
BIENVENUE AUX PETITS NOUVEAUX !!!
20.08.15.Avis à tous les membres. TCT est un forum convivial grâce à vous tous, et nous vous en remercions.
Montrons tout ca aux nouveaux inscrits en passant leur souhaiter la bienvenue sur leur fiche string par ici.
Le deal à ne pas rater :
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✩ how deep is your love.


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MessageSujet: ✩ how deep is your love.   ✩ how deep is your love. EmptyMar 22 Sep 2015 - 0:20


Slaun Marie Chambers

"Être une connasse c'est un don, faire la connasse c'est tout un art"


             

Acceptes-tu que Connor puisse s'immiscer dans tes rp ?
oui
non

Si c'est le cas, peut-il modifier le cours du rp ?
oui
non

Jusqu’où peut-il aller ?
Dispute
Pluie, tempête
Petit imprévu                              
Accident
Invitation d'un autre personnage
CHAMBERS
Chambers. Un nom d’une simplicité commune, un patronyme sans grande prétention. Un amas de lettres, bien américanisées. Rien de bien extravagant. Le plus étrange dans l’histoire ? C’est qu’il est connu de tout Blossom Hills. Chambers par-ci, Chambers par-là. Il suffit que je prononce mon nom de famille pour que les gens sachent qui je suis, d’où je viens, ce que je vaux. Chose qui peut se révéler déstabilisante, je dois l’avouer.
SLAUN, MARIE
Slaun, un prénom aux consonances masculines. Très souvent, je vois mon reflet dans le miroir et je ne vois rien de très masculin chez moi. Néanmoins, c’est le nom que mes géniteurs m’ont donné. Sûrement parce qu’ils avaient la perspective d’avoir un garçon, s'arrangeant pour prôner la mixité. Ou alors, ils ont juste trouvé ce prénom en ouvrant un bouquin. Je parirais plus sur la seconde option. Slaun. Ça aurait pu être mieux comme ça aurait pu être pire.
I WISH THAT I WAS 19
Ma date d’anniversaire est le 20 octobre 1996, l’année où le single Wonderwall de Oasis s’était retrouvé craché par toutes les enceintes du monde entier. L'année même de la sortie du tout premier opus de la saga de Craven, Scream. Un jour où l'hélianthe chauffait la planète de ses rayons, où les oiseaux gazouillaient dans le ciel. Un jour comme les autres, rien de bien intéressant.  
BAD BOYS ONLY
Autrefois, mes songes n’étaient que contes de fées. Lieux enchanteresses, atmosphère romantique : l’homme parfait avait l’allure d’un prince charmant. Seulement, la vie n’a rien d’une douce allégorie. Je m’en suis vite aperçu. À mes dépends, cela va de soit.  De ce fait, je fais avec ce qui vient. Être difficile ou exigeante n’apporte que de la solitude, chose que j’exècre haut plus au point. Néanmoins il semblerait que j’ai développé une certaine attirance pour ce qu’on appelle les vilains garçons. Les connards infinis, ceux qui briseront mon coeur sans état d’âme ; voilà ce qui m’attire. Et cela aux plus grand dam de mon père.
SCHOOL GIRL
Si je devais m’affubler d’un statut social ? Je dirais que je suis une visionnaire. Certes, cela n’emplit pas mon compte bancaire, mais j'aime à le croire. Les études, je suis en plein dedans. Cursus artistique, rien de bien transcendant. Le dessin, la peinture. Un art mineur qui ne m'apporte pas grand chose. De ce fait, et parce que j'ai mes besoins, je travaille en tant que serveuse au café du coin. Les remarques perverses et le comportement machiste, c'est bien sûr pour ma pomme. Joie dans les chaumières.
SINGLE LADY
D’aussi loin que je m’en souvienne, la gente masculine n’a jamais été des plus tendres avec ma personne.  Ma plus belle relation ? Mon célibat. Aucune prise de tête, aucun compte à rendre. Étant d’une nature enjouée, l’engagement n’est pas ce qui m’attire le plus. Les déboires amoureux, la souffrance qu’apporte une rupture : très peu pour moi. Si cela fait de moi une fille de joie ? Les mots incriminent beaucoup plus qu’ils ne signifient. Et, en y réfléchissant bien, mieux vaut être seule que mal accompagnée.

AVATAR : Gigi Hadid. GROUPE : les Pollen. CRÉDIT : Merenwen.

MON CARACTÈRE
MES PETITES MANIES
Le temps forge l’esprit, paraît-il. Ce qui est sûr, c’est que le temps s’est occupé de forger un caractère bien trempé à la demoiselle. Dotée d’un panel diversifié d’attributs plus ou moins élogieux, Slaun semble être quelqu’un d’aussi complexée que complexante. De nature très émotive, ce trop plein d’émotions qu’elle ressent parfois peut lui jouer des tours. Souvent décrite comme une personne prétentieuse et hautaine, cela n’est que le reflet d’un cruel manque de confiance en elle. D’une nature plutôt enjouée, il semblerait que la jeune femme ait besoin de l’attention des hommes pour se sentir à son aise. Séduisante, enivrante, captivante : autant d’adjectifs mélioratifs qui décrivent la file Chambers. Exquise au plus haut point, Slaun reste une jeune agréable dont la bonne humeur est presque contagieuse. Elle est serviable, dynamique, talentueuse. Un vrai rayon de soleil. Pourtant, cela ne l’empêche pas de véhiculer une image froide et dédaigneuse. Ce petit sourire narquois qui se crèchent à la commissure de ses lèvres lui donne souvent cet air supérieur, cet air qu’elle méprise tout ce qui se trouve autour d’elle. Slaun est un paradoxe à elle toute seule, un fillette coincée dans le corps d’une adulte. Manipulatrice sur les bords, elle n’hésitera pas à abuser des choses et des gens pour obtenir ce qu’elle désire. À fleur de peau bien qu’elle ne veut se l’avouer, cette émotivité est bien trop présente pour lui laisser le temps de réfléchir, ce qui laisse parfois des paroles blessantes et insolentes sortir de sa bouche à tord et à travers. Slaun aime à croire qu’elle est forte, qu’elle est intouchable. Qu’elle n’a besoin de personne. Bien sûr, elle ne fait que se voiler la face. La blonde n’est qu’une enfant, essayant de se trouver. Naïve, elle passera partie de sa vie à rêver qu'elle agit et l'autre à ressentir une grande méfiance à l'égard d'autrui. En effet, et malheureusement pour Slaun, la petite blonde confond bien souvent la vie et le rêve.
Avec les années, il semblerait que la californienne ait développé un nombre incalculable de gestes qu’elle réitère sans cesse. Ses doigts se mêlant à ses cheveux blonds comme les blés, ses dents d’une blancheur éclatante viennent mordre délicatement sa lèvre inférieure. Slaun ne s’en rend pas forcément compte et pourtant elle enchaîne ces manières comme un mécanisme bien rodé. Avec l’âge, la fille Chambers s’est aussi découverte une passion à laquelle ne s’attendait, une disposition qu’elle n’aurait jamais cru possible : le dessin. Peinture à l’huile, aquarelle, crayons de de couleur ; tout ce qui demeure sous sa main et qui peut lui permettre de créer quelque chose de plus beau que la réalité devient comme le prolongement de ses doigts. Paysages, portraits, abstrait : rien n’échappe à son coup de main. Sa peau elle-même est devenue son terrain de jeu, parsemée de quelques tatouages discrets. Dans ce même domaine qu’est l’art, il semblerait qu’elle raffole aussi de la littérature. Shelley, Baudelaire, Bukowski ; tous ces poètes font parti des recueils parnassiens qu’elle dévore chaque jour. Plus les écrits sont sombres, plus elle les chérit. La photographie semble être un autre passe-temps, son Polaroid offert par ses parents durant son enfance ne la quittant jamais. Elle capture l’instant présent, elle rend éternel l’éphémère. Elle donne à son existence banal une légère note de couleur. Le pourpre qu’elle capture durant les interminables couchers de soleil lui rappelle sa peur chronique du sang, les flammes chancelantes des rayons de l’hélianthe lui fait songer aux bougies parfumées qu’elle aime tant allumer les soirs d’été.

IN REAL LIFE
IRL, mon pseudo, c'est darethenight. Enfin, vu que maintenant, on est dans le même bateau, je peux vous dévoiler mon doux prénom également, Charline. J'ai 19 ans et je vis du côté de Nancy, en Lorraine. J'ai connu le forum grâce à une publicité sur Facebook et j'ai une dernière chose à vous dire : je vous dois une reconnaissance éternelle !.


Code:
<pris>gigi hadid ► </pris><a href="http://the-cherry-tree.forumactif.org/u142"> slaun m. chambers</a><br>

Choisir mon métier :
Code:
<j>serveuse</j> → slaun m. chambers<br>

Choisir mon quartier :
Code:
APPLE BLOSSOMS SQUARE




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MessageSujet: Re: ✩ how deep is your love.   ✩ how deep is your love. EmptyMar 22 Sep 2015 - 0:21

Voilà mon histoire...



« La plupart des gens n’ont aucune reconnaissance d’être en vie ».

BEVERLY HILLS, CA.
C’était un soir d’automne, au déclin d’une arrière saison. Au crépuscule, alors que le feuilles vermeilles des érables alentours tournoyaient dans une symphonie grotesque, des pleurs vinrent accompagner le mistral automnale. Ainsi, en ce 20 octobre de l’année 1996, la petite Slaun Marie Chambers vit le jour pour la première fois. Fruit d’une union aussi fraîche que la rosée, les parents de cette petite merveille se trouvèrent être les humains les plus comblés du monde. Ils avaient tant priés pour obtenir ce cadeau du ciel, quémandant chaque dimanche à l’autel que le Seigneur puisse leur offrir ce petit bout de paradis. Slaun, c’est ainsi qu’ils l’avaient appelé. D’origine américaine, les géniteurs de la fillette l’avait affublé de ce prénom suite à une trouvaille ô combien saugrenue. Il fallait accueillir l’enfant roi, lui offrir ce qu’il y avait de meilleur. Errant des les magasins décoratifs afin de trouver le landau parfait, les parents avaient fini par tomber sur des panneaux décoratifs où gisait des lettes gravées dans un bois onéreux. Des tas d’amas de lettres se présentaient à eux, passant par la culture maya pour finalement s’arrêter dans la paysannerie japonaise. Néanmoins, c’est un prénom aux effluves masculines qui attira leur attention. Slaun, tel était l’histoire de son prénom. Burlesque, qui plus est. Une rapide décision suite à la vue d’un bout de bois gravé. Souvent, les histoires des prénoms beaucoup plus élaborées, recherchées. Venant parfois d’un ancêtre ou d’une personnalité de l’époque qui avait alors accompli de grandes choses durant son existence. Seulement, rien de tout ça. La recherche de son prénom s’apparentait à l’idée même qu’ils avaient pris ce qu’ils avaient trouvé. Comme si son père, au détour d’un bureau de tabac, avait pris le nom d’une actrice pornographique qui trônait sur la dernière couverture de Playboy. L’important c’est d’avoir un nom, diront certains. Le reste n’a aucune importance. Et ce choix peu réfléchi se révélera être l’ébauche d’une décadence bien désastreuse. Rapidement, l’idylle de ses parents se trouva mis à mal lorsqu’il fallut se lever à des heures pas possibles pour donner le biberon ou bien changer la couche, le quotidien des époux Chambers devenant aussitôt un enfer sur Terre. Slaun dû faire ses dents, apprendre à marcher, à devenir propre. Autant de choses qui laissaient ses créateurs à bout de nerfs. Ils ne cessaient de se hurler dessus, laissant la gamine éclater en sanglot au beau milieu de la cuisine. Créchant dans un appartement minable, Slaun se retrouva aussitôt délaissée lorsqu’elle passa la barre des trois ans. Elle savait articuler quelques mots, marcher quelques temps sans trébucher. Rien de bien savant, rien de bien extraordinaire. Pourtant, ses parents avaient tout deux décidé de reprendre le travail. L’enfant se trouva alors malmenée de nourrice en nourrice, tout aussi douteuses les unes que les autres, la laissant avec des tâches de terre plein la figure lorsqu’elle venait à jouer à l’extérieur. Les écoles qu’elle fréquentait n’avait rien de bien sûres, des gamines d’à peine six ans levaient déjà leurs jupes pour obtenir un biscuit de la part de garçons plus âgés. L’innocence n’avait plus sa place dans le monde de la petite Slaun arrachée brusquement à son cocon douillet qu’elle s’était confectionné. Apprenant rapidement à lire grâce à la vieille femme qui nichait dans l’appartement en face de celui de ses parents, les livres devinrent rapidement un échappatoire à cette vie décadente qu’elle entamait alors. Esseulée, elle laissait son imagination s’engouffrer dans des recueils aux paysages magiques, aux idées lumineuses qui laissaient un sourire découvrir les deux incisives de la fillette.  Durant des années, elle attendra que Peter Pan vienne la chercher en ouvrant la fenêtre de sa chambre, pensant ardemment que tout cela était vrai. Qu’elle pourrait un jour être une petite fille comme les autres. Les années passèrent, et rien ne se manifesta. Bientôt, elle comprit que le Pays Imaginaire n’était rien d’autre qu’une fantasmagorie, qu’elle finirait comme cette bonne vieille Wendy et qu’un jour elle serait arrachée à sa chambre d’enfant. Tout du moins, si cela n’avait pas déjà été effectué de façon inconsciente, ses parents ayant oublié il y a très longtemps qu’elle n’était qu’une enfant.

« C’est dans le mensonge que la vérité commence ».

SANTA MONICA, CA.
Assertion contraire à la vérité, énoncée pour tromper. Inventer quelque chose de faux, user de la ruse. Duper son monde, se jouer d’une personne. C’est ainsi que le mensonge pouvait être vu, défini comme étant un acte tout bonnement abominable. Pourtant, c’est l’une des choses que son paternel lui enseigna aux prémices de sa vie, laissant une marque importante qui définira la personne qu’elle deviendra. En effet, la première fois qu’elle se retrouva confrontée à un mensonge, ce fût grâce aux paroles de celui qui était un modèle masculin pour elle. Son père, escamoteur invétéré. Tout commence avec l’histoire traditionnelle du mari qui rentre chaque jour un peu plus tard, feintant des obligations sorties de nul part. Inventions, excuses. Premières choses qu’un homme utiliseras lorsqu’il se sentira en danger. Absent d’un cocon qui se devait être familial, l’épouse commença à avoir des doutes, questionnant sa moitié afin de savoir ce qui n’allait pas. Prétextes, simulacres. Des voyages d’affaires imprévus, des réunions de dernières minutes. Ces paroles sortaient de la bouche du concerné, avec un naturel déconcertant. La femme, préférant fermer les yeux, continuera d’agir comme si tout allait pour le mieux. Il venait de monter dans l’échelle sociale, ramenant maintenant une paye qui permettait à la famille d’acheter plus de choses qu’ils n’auraient jamais pu. Le chef de famille rentrait tard dans la nuit, foulant avec discrétion le parquet pour se glisser dans le lit conjugal comme si de rien n’était. Des fois, il ne se donnait même pas la peine de rentrer. Des questions commencèrent à fuser dans son entourage, la fillette venant même à quémander après son père. Et, lorsqu’elle posait la question fatidique à propos de ce dernier, elle se retrouvait aussi expédiée dans sa chambre pendant que des torrents de larmes se déversaient des yeux fatigués de sa mère. Loin d’être naïve, elle avait fini par suivre son mari qui déserté trop souvent le domicile familier depuis quelques mois. Elle se devait d’obtenir la vérité, elle en avait besoin. L’alchimie dans le couple n’était plus présent depuis bien longtemps, l’amour des premiers jours semblait même s’être évaporé. Elle les avait vu s’embrasser comme de jeunes tourtereaux, elle les avait vu sortir d’un tas de restaurants gastronomiques main dans la main comme un couple sans histoire. Elle avait tout vu. Trahie par celui pour qui elle avait tout donné, il était de son devoir de crever l’abcès. Jusqu’à ce que la mort nous sépare, avait-il dit. Souvent, la mort s’apparente à une jolie et jeune femme d’affaires. Une blonde plantureuse, aux jambes interminables. Voilà ce par quoi il l’avait remplacé, ce pourquoi il avait détruit tout ce qu’ils avaient construits. L’habitacle devint aussi tôt un endroit chaotique, les vociférations se mêlèrent à des éclats de voix ô effluves scabreuses. Rapidement, le divorce fût prononcé. Étant devenu un homme d’affaires, le paternel n’avait pas le temps de s’occuper pleinement de ce petit bout d’humain, les voyages d’affaires qu’il entreprenait avec cette femme qui partageait dorénavant sa vie lui prenant un temps considérable. C’est donc la mère de Slaun qui obtint la garde complète de la fillette, la concernée devant rendre visite à son père au moins deux fois par an. Histoire de garder les liens familiaux au sec, de ne pas les laisser sombrer dans des eaux glaciales. L’ancienne épouse Chambers n’accepta jamais cette rupture, cherchant coûte que coûte une personne sur qui rejeter la faute. Elle n’était pas fautive, cela ne pouvait pas être possible. Elle avait toujours était courtoise, parfaite. La femme parfait. Il lui fallait un coupable, un bouc émissaire. Devinez donc qui se trouva entraînée dans ce cercle vicieux ? Slaun. Sa naissance, selon sa créatrice, avait engendré la fin de son mariage. S’étant reconvertie en femme au foyer, le temps qu’elle consacrait à ce bout d’âme l’empêchait de prendre du temps pour elle. Pourquoi aurait-il prit le temps de couvrir son faciès de cosmétiques pour faire la cuisine ou bien changer des couches. Elle n’en voyait décemment pas l’intérêt. Elle s’était laissée aller, il s’était lassé. Rien de bien compliqué à comprendre. Seulement, la matriarche refusait l’idée. Le problème ne venait pas d’elle, il venait bel et bien du fruit de leur union catastrophique. « Ce n’est pas pas de ta faute si tu as gâché ma vie, Slaun. Tu n’est qu’une sale gamine après tout. Un poids que je dois maintenant portée seule ».

« C’est votre vie et elle s’achève minute après minute ».

DÉTROIT, MI.
Sa vie, d’aussi loin qu’elle pouvait s’en souvenir, semblait s’être construite autour de l’adultère qu’avait orchestré le paternel. Slaun ne pouvait se souvenir d’un moment agréable passé avec ses parents, seules des images de violences et de clameurs se présentaient devant ses yeux. Mal dans sa peau, il est évident que la gamine ne se sentait pas à sa place partout où elle allait. Cherchant à s’exiler de ce monde qui n’apportait que de la souffrance, sa créatrice avait décidé qu’il était temps d’aller rendre visite à sa soeur aînée, à l’autre bout du pays. Âgée alors d’une huitaine d’années, la fillette apprenait réellement ce qu’était la vie. Sa mère ne cessait de lui lancer des piques, plus ou moins désagréables selon son humeur. Aussi étrange que cela fût, elle trouva rapidement refuge dans un drôle de domaine : la fourberie. Un domaine dans lequel elle avait grandit. C’est alors que l’expression les chats ne font pas de chiens prit tout son sens, montrant que le sang Chambers coulait parfaitement dans ses veines. « Qu’est-ce qu’il s’est passé avec tes parents ? ». Ding, premier mensonge. À peine le divorce de ses créateurs avait été prononcé qu’elle se retrouva criblée de questions. La curiosité, un bien vilain défaut qui s’allie au péché capital qu’elle aimera tant. « Mon père travaillait trop, ma mère voulait un vrai mari. Non un mari à mi-temps ». Ô douce Slaun, toi qui maniait parfaitement la rhétorique du haut de ton jeune âge. Elle savait parler, elle savait s’exprimer. Et, pour la première fois de sa triste vie, sa petite bouche venait de mentir. Qui osera dire par la suite que la vérité sors de la bouche des enfants ? Certainement pas la jeune brune. Ce plaisir de ne pas dire la vérité, ce plaisir de s’inventer une vie qui n’est pas la sienne. Si des personnes lambda viennent à la critiquer ? Qu’est-ce que cela peut lui faire, ce n’est pas sa vie, ce n’est pas elle. Ce sentiment, elle l’aima tout de suite. Cette petite pointe d’adrénaline dans sa cage thoracique, cette lueur malicieuse dans ses yeux qui s’animaient lorsqu’elle mentait. Elle aimait cette sensation, elle ne pouvait le nier. Et cela, elle l’avait compris à l’instant même où elle lâcha son premier mensonge. « Slaun, te considères-tu comme heureuse ? ». Boum, la bombe était lâchée. La réponse positive qui avait suivi cette question venait de lui ouvrir les portes du royaume du mensonge. Slaun, heureuse ? Quelle ironie. Elle mentait pour se protéger, pour ne pas souffrir. Raconter sa vie serait trop pénible, trop douloureux. Mentir, s’inventer une vie tranquille semblait beaucoup plus alléchant. Elle mentait pour subsister, pour ne pas tomber au fond du puits. Mentir pour vivre, mentir pour survivre. À l’école, elle accusait sans cesse les autres, mentant à qui voulait l’entendre. Ce n’était jamais elle, c’était toujours les autres. Elle n’était qu’une gamine, toutes les gamines mentent plus ou moins. Elle aurait voulu arrêter, tout stopper. Dire qu’elle avait monter de toutes pièces ses paroles. Seulement, elle ne pouvait s’y résoudre. Dire la vérité serait une acte horrible, un château de cartes s’effondrant sous un courant d’air. Elle avait besoin de ses mensonges, elle avait besoin de cette fausse vie. Toutes les gamines disent qu’elles ont un poney, qu’elles ont des milliers de poupées jonchant le parquet de leur chambre. Qu’elles sont des princesses, qu’elles ont une baguette magique. Mentir, un c’est passage obligatoire pour se construire. Faire la différence entre le bien et le mal, savoir s’arrêter lorsqu’on est au bord du gouffre. Non, bien au contraire, elle ne faisait que s’y enfoncer. Sournoisement, insidieusement. Chaque jour, elle se disait que c’était son dernier mensonge, qu’ensuite elle arrêterait. Et, comme cette foutue drogue qu’est la cigarette, ses lèves en demandaient toujours plus. Sa bouche en raffolait, sa gorge en était dépendante. Mentir n’était désormais plus qu’un jeu d’enfants.

« Ne jamais croire une jolie fille avec de vilain secret ».

MIAMI,  FL.
En prenant le temps d’y penser, Slaun aurait pu être la perfection incarnée. Grande, blonde, élancée. Elle avait un faciès séraphique, une douceur enivrante. Tout du moins, c’est ce qu’elle aurait pu sciemment devenir si elle n’avait pas gaiement accepté de s’engager sur un chemin escarpé des plus méphistophéliques. Les années filaient à tout allure, l’eau s’étant écoulée sous les ponts. Avec le temps, tout s’en va. Les soucis, les inquiétudes, les regrets. À l’aube de ses seize ans, Slaun avait bien changé. Sa mythomanie compulsive semblait s’être évaporée, son goût pour la duperie s’était dissipé. En grandissant, les défauts de l’âge juvénile se tassent. Slaun l’avait toujours su. Elle avait toujours su qu’un jour elle serait libérée de ses chaînes. Ce renouveau avait été marqué par un important changement, la jolie blonde n’ayant guère eu le choix que d’aller rejoindre son paternel dans le sud des États-Unis. Délaissant sa vipère de mère qui venait de se trouver un nouveau petit-ami, elle n’avait jamais été aussi enchantée que de quitter la maison. Des siècles, des décennies. C’était certainement le laps de temps où la jeune femme n’avait pas vu son père, les nouvelles technologies permettant bien plus de choses qu’avant. Ce qui était une évidence, c’était que Slaun n’avait jamais eu ce qu’on pouvait appeler une enfance heureuse. Un père absent, une mère qui la détestait plus que tout au monde. Des amis en carton, des connaissances douteuses. Une vie monotone, sans grande importance. Une existence qu’elle n’aimait guère, un quotidien qu’elle semblait haïr. Le seul moment de réconfort était lorsqu’elle retrouvait son lit, son imagination pouvant alors divaguer aux limites du réel. Slaun s’imaginait une vie. La vie qu’elle aurait voulu vivre, celle qui fait rêver toutes les petites filles. C’est au détour d’un rêve, d’un songe éphémère, qu’une idée lui traversa l’esprit. Pourquoi ne pas retranscrire cette utopie onirique dans cette nouvelle opportunité qui lui tendait les bras ? Sa seconde chance, comme elle aimait à l’appeler. Loin de cette génitrice qui ne pouvait désormais plus la faire marcher à la baguette, elle se sentait comme revivre. Son père n’était pas le monstre que sa mère lui avait dépeint, bien au contraire. Il était aimant, courtois, attentionné. Tout ce que sa mère n’avait jamais été envers sa personne. Pour la première fois de sa vie, quelqu’un se comportait comme un vrai parent avec elle. Nichée au coeur de la Floride, sa vie s’ouvrait à elle comme une fleur au printemps. Elle pouvait être qui elle avait envie d’être. Une fille banale, c’est ce qu’elle avait toujours été. Rien de bien intéressant, elle n’avait rien de l’adolescente avec qui on avait envie de tisser des liens. Tout du moins, jusqu’au jour où elle décida de se prendre en main. Elle était dynamique, dotée de quelques facultés intelligibles à ne pas délaisser. Si elle l’avait réellement voulu, son sourire aurait pu lui apporter tout ce qu’elle désirait. Seulement, il lui fallut quelques temps pour comprendre comment tournait le monde dans lequel elle vivait désormais. D’une nature plutôt enfantine, ce n’est que durant sa première année de lycée que Slaun qu’elle devrait mettre du sien pour obtenir ce qu’elle désirait. Elle avait vu cela dans les séries télévisées, ces gamines populaires devant qui les autres pliaient genoux. Elle aurait voulu faire parti de cette classe d’individus, elle aurait voulu inspirer autant de respect. Elle aurait voulu être cette fille que tout le monde rêvait d’être. Elle, la jolie blonde à la peau parsemée de grains de beauté, essayant de conquérir un songe. La popularité, un foutu rasoir entre les mains d’un enfant. Elle, elle s’était coupée plus d’une fois. S’étant mis en tête qu’un jour elle pourrait prétendre au statut de reine du lycée, elle se donna les possibilités de monter dans la hiérarchie. Plus elle avançait dans les classes supérieures, plus elle se donnait le genre de la fille inaccessible que personne ne pouvait avoir. Cette gamine perfide et superficielle, moqueuse au plus haut point. Ça n’était pas elle, ça n’était pas la petite Slaun qui ne quittait jamais ses contes de fées. La jolie blonde n’avait rien d’une peste, le naturel prenant rapidement le dessus lorsqu’elle venait à essayer de dévier de son sentier. Pourtant, elle était devenue ce qu’elle désirait : une lycéenne que l’on adule. Sa vraie personnalité ne s’entrevoyait que dans une seule et unique chose : ses dessins. Endroit où elle était vraie, où elle laissait transparaître ses émotions et ses pensées. Des toiles, des centaines de toiles. Voilà ce qui gorgeait le sous-sol du motel de sa mère où elle s’était installé un petit atelier. À l’abri des regards. Peindre lui permettait de se calmer, lui permettait de décompresser. De se canaliser, d’oublier un foutu instant qu’elle n’était qu’une vulgaire menteuse. Souvent, elle se posait la question de savoir si oui ou non elle aimait ce qu’elle était devenue. Ce qu’elle montre, c’est ce qu’elle n’est absolument pas. Ce qu’elle cache, c’est ce qu’elle est. Slaun est un paradoxe, une antithèse comme on en fait plus. Être a découvert, paraître à fleur de peau : jamais. Elle n’aime personne, elle ne veut de personne. Les sentiments l’ont beaucoup trop fait souffrir, l’homme n’étant qu’une montage d’hypocrisie. Son coeur est anesthésié par la peur de souffrir, ses membres sont atrophiés par les coups de la vie. Elle ne doit en aucun cas faillir, en aucun montrer patte blanche. Elle n’avait jamais été aimée, elle ne le serait jamais. Seuls ses rêveries étaient là pour elle, seuls ses mensonges pouvaient lui créer cette carapace qui l’empêchait d’être percée à jour. Dans la vie, il y a ceux qui sont devant et ceux qui suivent. Slaun ne veut plus être de l’arrière-plan, elle en a beaucoup trop souffert. L’adolescence vient avec son lot de désolations, de problèmes. D’erreurs. Alors que la jolie blonde semblait avoir tout ce qu’elle chérissait, elle fauta pour la première fois de sa vie. Certes, elle avait déjà engendré quelques erreurs, comme toute personne de son âge.  Seulement, elle plongea tête la première dans une rivière tumultueuse qu’il aurait mieux valu éviter. Slaun se souvient de ce jour comme si elle revivait l’instant. Comme si son cerveau avait enregistré la scène avec les moindres détails. L’entreprise de son paternel venait de faire faillite, la petite famille ayant du mal à joindre les deux bouts. C’était en flânant sur quelques sites divers que l’américaine était tombée sur cette annonce, une annonce qui promettait une discrétion totale. L’objet de cette note ? Des photographies. Adhérente de l’équipe de cheerleaders de son lycée depuis bientôt trois ans, prendre la pose était quelque chose dont elle avait l’habitude. Et puis, ayant désormais perdu l’innocence qui se lisaient auparavant dans ses iris émeraudes, la jeune femme avait bel et bien conscience de son physique. Elle envoya donc un cliché à ce photographe qui demanda tout de suite à la rencontrer. Aussitôt, plusieurs séances furent programmées. Slaun devait passer différentes tenues, poser à des endroits multiples avec diverses poses. Plus les jours défilés, plus les tenues étaient minimales. Seulement, ce qu’elle avait aussi remarqué, c’est que le cachet était de plus en plus important. Plus ou moins dénudée, la blonde allait rompre son contrat lors que le photographe lorsque celui-ci lui proposa une somme conséquente. Le deal ? Poser en petite tenue. Elle y réfléchit à deux fois, inspectant bien la proposition. Les clichés n’avaient rien de grossier, aucun caractère pornographique. C’était le genre de photographie que faisaient des mannequins lambda. Son air innocent, enfantin semblait plaire. Son employeur lui avait promis que ces clichés ne seraient jamais publiés au grand public, servant à effet personnel ou bien dans des magasines bien spécifiques qui n’étaient pas vendus dans le pays. Naïve, Slaun. Candide enfant. Elle accepta la proposition et empocha la somme. Imaginez donc sa surprise lorsque, quelques semaines après, elle retrouva sa personne placardée partout sur les murs de son lycée. Elle, la petite cheerleader sans histoire, mise à nue aux yeux de tous. Rongée par la honte, elle ne savait même plus quoi penser, quoi faire. Elle était coincée dans un flot de mensonges, une torrent mortel qu’elle ne pouvait pas quitter. Que devait-elle faire ? Elle n’en avait aucune idée. Sa réputation qu’elle avait pris tant de minutie à construire venait d’être mis à mal en quelques secondes, réduite à néant. Certes, beaucoup virent ces photographies comme un honneur, un éloge. Ne trouvant pas qu’elle devait avoir honte de ce qu’elle avait fait, elle devait au contraire assumer ses choix pour faire taire les mauvaises langues. Pour d’autres, c’était une insulte au puritanisme américain. Une insulte à sa famille. Une insulte à sa propre personne. Se laisser photographier dans de telle tenue, où se situait le respect ? Humiliée, l’apogée se créa lorsque son père se trouva en possession des clichés en question. Trahie, salie. La petite blonde avait donné sa confiance trop rapidement et elle se retrouvait dupée à tout jamais. Essayant d’expliquer l’histoire à son père, ce dernier ne pouvait que comprendre le pourquoi de son acte. Elle avait voulu l’aider, après tout. Elle avait toujours était serviable, toujours a aidé les autres. Cependant, elle avait fait le mauvais choix. Ne pouvant accepter d’avoir une trainée sous son toit comme le disait la petite-amie de son paternel, sa mère respective ne voulait pas non plus la récupérer. « J’ai toujours su que notre fille finirait pute ». Au bord du gouffre alors qu’elle se morfondait dans sa culpabilité, son père décida de l’envoyer là où personne ne pourrait être au courant du scandale. Chez son oncle Blossom Hills.

« Ce que vous faîtes résonne dans l’éternité ».

BLOSSOM HILLS, 2015.
Slaun, un prénom bien aérien qui comporte bien des turbulences. Elle est âgée de dix-neuf ans, et pourtant on lui donnerait dix-huit ans à peine. Fraîchement débarquée de son état de Floride, cela ne fait que quelques mois que la jeune femme crèche chez son oncle. Homme grognon, peu sociable. Acariâtre, très vieux jeu. Ce dernier semble aimait l’alcool plus que tout au monde, son hémoglobine s’apparentant plus à un flot incessant de vin qu’au liquide ferreux et vermeil. Elle ne l’avait jamais vu avant de poser bagage sur son patio, elle ne savait même pas qu’elle avait de la famille dans ce coin des États-Unis. Insouciante, ingénue. Slaun s’était dirigée tête baissée dans la gueule du loup, elle en avait honte. Elle savait que tout était de sa faute, qu’elle était seule responsable de ce qu’il lui arrivait. Elle ne pouvait que se blâmer, se détester. Désormais membre à part entière de cette douce bourgade, Slaun ne pouvait pas se cacher indéfiniment dans sa minuscule chambre à coucher. Ici, personne ne savait ce qu’elle avait fait. Tout du moins, pas encore. Et, cela va de soit, elle espérait que cela dur des années. Elle avait repris ses études, elle avait trouvé un travail. Elle essayait de sortir la tête de l’eau, de ne pas couler au fond de ce lac d’eau glacée. La fille Chambers était une battante, pas une faible. Elle n’avait jamais baissé les bras et cela n’arriverait pas de sitôt. Il était temps pour elle d’enfiler un masque, de se cacher derrière une apparence autre que celle de l’adolescente détruite. Une nouvelle fois, Slaun se devait de passer outre et de continuer à vivre comme si de rien n’était. Comme si sa vie était un conte, une fable. Comme si, à la fin, il ne pouvait y avoir qu’un dénouement heureux. Une morale réfléchie. Elle ne pouvait pas écrire son histoire sans qu’elle ne finisse comme elle l’avait décidé. Elle se devait de se battre, de s’offrir ce qu’elle méritait. Au plus profond de son âme, elle savait que cela n’allait pas être facile. Revenir sur les railles demandait beaucoup de rigueur, d’application. De la volonté. Elle remonte la pente, doucement. S’accrochant à des espoirs, à des brisures de rêves. Elle survit, elle persiste. Ses vieux démons ne tarderont pas à lui emboîter le pas à nouveau, son besoin constant de se sentir aimée reprendre le dessus sur elle. Elle la compagnie des hommes, pas forcément la gente masculine en elle-même. Se changer les idées, c’est tout ce qu’elle cherche. Elle se doit de garder la tête hors de l’eau, à la surface. Seulement, sa culpabilité la prenait à la gorge, comme des odeurs d’ammoniaque. Slaun est belle. Slaun est vulnérable. Son corps svelte et son visage ô combien gracieux l'aident beaucoup, elle le sait. Elle s'en sert. Un serpent, c'est ce qu'elle est. Une rose dont les épines blessent violemment. Slaun, un prénom bien aérien pour une demoiselle aussi peu conventionnelle. Sulfureuse. Manipulatrice. Hypnotisante.

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MessageSujet: Re: ✩ how deep is your love.   ✩ how deep is your love. EmptyMar 22 Sep 2015 - 7:58
Bienvenue parmi nous ma belle bril

Barry D. Fowler
Barry D. Fowler

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37 y.o. ❖ Célibatard
j'appelle ma soeur "Moustique" ► j'ai plein de tatouages, demandez moi je vous les montrerai ► je me déplace exclusivement à moto ►mes parents étaient les proprios du bar de la ville et maintenant c'est moi ► je n'ai jamais présenté aucune fille à mes parents ► j'ai un humour spécial ► j'adore la bière et mon péché mignon c'est les cookies de ma mère ► j'ai peur de m'engager avec quelqu'un et je suis bien seul ► je suis très protecteur envers ma soeur ► j'habite au dessus du bar ► je suis un dragueur invétéré ► je joue de la guitare ► je n'ai jamais été brillant à l'école ► j'aime donner des surnoms loufoques aux gens ► ma soeur est enceinte et je vais être tonton ►j'adore le sport et la musculation ► j'aime le rock ► je regarde souvent le basket ► je me dis toujours qu'il faudrait que je lise plus mais je ne le fais jamais ► j'ai très souvent une clope derrière l'oreille quand je bosse



MessageSujet: Re: ✩ how deep is your love.   ✩ how deep is your love. EmptyMar 22 Sep 2015 - 13:45
Bienvenue parmi nous jolie demoiselle bave bave bave

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MessageSujet: Re: ✩ how deep is your love.   ✩ how deep is your love. EmptyMar 22 Sep 2015 - 14:03
Bon courage pour ta fiche ♥

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MessageSujet: Re: ✩ how deep is your love.   ✩ how deep is your love. EmptyMar 22 Sep 2015 - 17:19
bienvenue parmi nous et bonne continuation pour ta fiche petit panda heart

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MessageSujet: Re: ✩ how deep is your love.   ✩ how deep is your love. EmptyMer 23 Sep 2015 - 2:39
OMG ✩ how deep is your love. 3861787415 ✩ how deep is your love. 3861787415
Gigi bave bed. Cette fille est vraiment magnifique bril. Super choix ✩ how deep is your love. 3861787415. Et je suis contente que tu sois restée coeur calin. Je viendrais certainement te demander un lien parce que bon, elle a l'air génial ta Slaun et puis ton titre de fiche ✩ how deep is your love. 3861787415.
Bienvenue bril et bon courage pour ta fiche excited

Sara-J. Hastings
Sara-J. Hastings

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MessageSujet: Re: ✩ how deep is your love.   ✩ how deep is your love. EmptyJeu 24 Sep 2015 - 10:39
batte Han je me fais trahir par mon propre meilleur ami quoi !! Cette fille c'est le diable !! Elle a fait des trucs avec mon Stan !! xD

Bref, je pense que nos persos vont pas s'aimer, mais je te souhaite la bienvenue quand même parce que je suis une gentille joueuse qui aime les nouveaux membres ^^ Bon courage pour ta fiche ^^

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MessageSujet: Re: ✩ how deep is your love.   ✩ how deep is your love. EmptyJeu 24 Sep 2015 - 11:04
bed  bed  bed (Sara si tu vois ça, sache que tu es quand même la femme de ma vie, simple égarement de ma part. hide)


Slaun M. Chambers a écrit:
"Être une connasse c'est un don, faire la connasse c'est tout un art"

J'ai envie de dire que tu excelles dans cet art. boude Tu savais très bien que j'étais avec quelqu'un et pourtant il a fallu que tu fasses tout pour m'avoir. fuck Tu m'as retourné le cerveau, tu m'as manipulé et pire encore, tu m'as violé ! (ouais, j'suis un mec qui assume totalement ce qu'il fait !  grrr)

Slaun M. Chambers a écrit:
De ce fait, et parce que j'ai mes besoins, je travaille en tant que serveuse au café du coin. Les remarques perverses et le comportement machiste, c'est bien sûr pour ma pomme. Joie dans les chaumières.

Haha.  roule Pauvre de toi. roll Mode JJ : c'est pas des comportements machistes. On trouve que t'es bonne, tu nous sers et on veut plus, j'vois vraiment pas il est où le problème. omg Alors inutile de te plaindre et viens on se retrouve dans les toilettes du bar, j'vais te montrer c'est quoi la vie. héhé (bon mon pauvre JJ, il commence à faire une fixette sur les jeunes, ça va pas du tout !!)

Enfin bon, je te l'ai déjà dit, mais j'aime beaucoup ta plume.  jump1
J'ai vraiment hâte de voir ce que tu vas nous faire de ce nouveau perso' et puis de pouvoir RP avec toi pour foutre encore plus la merde dans la vie de mon p'tit Griffin !  excited (ouais, j'suis du genre à aimer torturer inutilement mes personnages ! mwahahah.  devil)
En tout cas, contente que tu sois restée parmi nous et je te souhaite donc officiellement la bienvenue chez les tarés.  youpii (j'sais, j'suis trop à la bourre, j'étais même pas passée sur ta première fiche, j'ai honte. hide)
Si tu as la moindre question, le staff est là pour toi. yeahh


Et...

Sara-J. Hastings a écrit:
batte Han je me fais trahir par mon propre meilleur ami quoi !! Cette fille c'est le diable !! Elle a fait des trucs avec mon Stan !! xD

Oh. snif C'trop meugnooon. amour
Je t'avais prévenu que ton meilleur ami laissé à désirer hein, t'as pas voulu m'écouter... coucou
Et j'aime le "mon" Stan ! dance Pour une fois, je me sens important dans ta vie. siffle Sois pas jalouse voyons, tu es la seule dans mon cœur, je t'assure. smile C'était JUSTE une erreur, rien de bien important au final... hide

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MessageSujet: Re: ✩ how deep is your love.   ✩ how deep is your love. EmptyJeu 24 Sep 2015 - 11:59
Sara-J. Hastings a écrit:
batte Han je me fais trahir par mon propre meilleur ami quoi !! Cette fille c'est le diable !! Elle a fait des trucs avec mon Stan !! xD

Bah TON Stan, comme tu dis, avait qu'à ranger sa kekette et pas la fourrer partout boude. Et je te trahis pas boude, c'toi qui m'a trahi grrr, pour Benjamin na.

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MessageSujet: Re: ✩ how deep is your love.   ✩ how deep is your love. EmptyJeu 24 Sep 2015 - 20:22
J'voulais juste te dire que si t'as besoin de réconfort, d'oublier que certaines personnes se foutent royalement de ta gueule et te détestent à un point inimaginable, j'suis là. héhé bed

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MessageSujet: Re: ✩ how deep is your love.   ✩ how deep is your love. EmptyJeu 24 Sep 2015 - 22:15
MERCI LES GENTILS GENS ** cute.
J'ai bien galéré avec ma fiche mais, mainteant qu'elle est finie, je suis sens libérée !  
+ j'espère surtout ne pas vous décevoir  sigh

✩ how deep is your love. 5c55f6f0-1d59-11e4-b036-1dba2a5df402_tumblr_n6crfdCQI11rvj9jqo1_500

Aksel M. Griffin a écrit:
OMG ✩ how deep is your love. 3861787415 ✩ how deep is your love. 3861787415
Gigi bave bed. Cette fille est vraiment magnifique bril. Super choix ✩ how deep is your love. 3861787415. Et je suis contente que tu sois restée coeur calin. Je viendrais certainement te demander un lien parce que bon, elle a l'air génial ta Slaun et puis ton titre de fiche ✩ how deep is your love. 3861787415.
Bienvenue bril et bon courage pour ta fiche excited

SINON, TQT AKSEL. Je suis passé maître dans l'art de me faire des Grffin en douce .. roule sex.
Non, en vrai, c'pas drôle .. C'est trop pour le petite Sara ......

Stan Griffin a écrit:
bed  bed  bed (Sara si tu vois ça, sache que tu es quand même la femme de ma vie, simple égarement de ma part. hide)
ARRÊTE DE TOUT METTRE SUR LE DOS DES AUTRES. C'toi le chef, comme le dit Aksel, t'avais qu'a tout arrêter et on en aurait plus parler cool. MAIS NON, ton instinct primaire de mal a repris le dessus alors d'arrête d'accuser les autres pour tes fautes .. PCK C'TOI LE MÉCHANT lama.

Jaeden Allister a écrit:
J'voulais juste te dire que si t'as besoin de réconfort, d'oublier que certaines personnes se foutent royalement de ta gueule et te détestent à un point inimaginable, j'suis là. héhé bed
Sinon, j'crois que je vais garder le meilleur pour la fin .. JAE. Toujours aussi romantique, aussi poétique, aussi pathétique leche.
Rime facile, je l'avoue .. Mais, aucun problème, le jour où je veux choper une maladie, je t'appelle direct !

SINON, ENCORE MERCI A TOUS heart.
ola  [/quote]

Andy Duncan
Andy Duncan
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MULTICOMPTES : Anciennement Kate Keller (Zoe Sugg)

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QUARTIER : peach blossoms area, squatte chez les Evans.


MessageSujet: Re: ✩ how deep is your love.   ✩ how deep is your love. EmptyVen 9 Oct 2015 - 20:11
Bienvenue parmi nous amour calin coeur

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MessageSujet: Re: ✩ how deep is your love.   ✩ how deep is your love. EmptyVen 9 Oct 2015 - 23:07
Slaun M. Chambers a écrit:
JAE. Toujours aussi romantique, aussi poétique, aussi pathétique leche.

mdr mdr mdr  
clap clap clap

Non sérieusement, j'adore ! luv
Bon, j'suis désolée pour ce temps, mais avec la maintenance on ne pouvait pas te valider. hide Fichu bug à la con ! Enfin bon, j'suis là pour y remédier.  superman




Bienvenue dans le roman !

"Connor t'a introduit(e) dans ses pages."



COMMENTAIRES SUR TA FICHE
Bon, je te l'ai déjà dit, mais j'suis vraiment fan de ta plume. ✩ how deep is your love. 3861787415 C'est vraiment un truc de dingue, j'adore.  bave
Par contre vu que tu as réutilisé ton ancienne histoire, à des moments tu t'es un peu emmêlé les pinceaux. Tu parles de mensonges alors que tu viens juste de dire qu'elle ne mentait plus ou du motel de sa mère alors qu'elle vit chez son père. 'fin rien de grave en somme, j'ai compris où tu voulais en venir.  cool
J'aime bien l'histoire des photos et de sa naïveté, c'est meugnon. Tutafé le genre de nana que JJ peut entuber. siffle Enfin bon, j'ai hâte de voir comment elle va évoluer dans notre p'tite bourgade la demoiselle ! porcinet
Bref, éclate toi bien chez les tarés !  cute


CONGRATS !
LES LIENS
Maintenant que tu es officiellement des nôtres, tu as ton pseudo en couleur, un logement, un métier, tu es fin prêt(e) pour l'aventure TCT !  superman Plus qu'à nous embarquer dans tes folles aventures, allez, vole petit papillon !
C'est pas le tout, mais le roman ne serait pas intéressant si les personnages ne vivaient pas d'aventures plus épiques les unes que les autres. Cours vite créer ta fiche de liens & passer sur celles des autres. Mieux tu t’intégreras, plus les lecteurs en réclameront !
LES SCENARIOS
LE FUN
Si tu as besoin d'un lien tout particulier, tu peux bien entendu créer ton scénario (deux maximum) ou bien effectuer une recherche de liens afin de trouver les éléments qui manquent à la vie de ton perso. Un amour, un frère, un coloc, fais ton marché et essaye de convaincre les lecteurs.
Mais l'essentiel dans tout ca, c'est surtout que tu t'amuses. RP avec qui tu veux, floode, squatte la chatbox, souhaite la bienvenue aux petits nouveaux comme tu aimerais qu'on t'accueille, donne vie au forum et deviens le chouchou de Gloria.  bril  



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